Cours d'exploitation des mines, [professé à l'Ecole royale des mines en l'Hôtel des Monnaies de Paris durant les années 1780]. [Page 215]

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213 perpendiculairement dans le puits, ils font mouvoir les tiges Q, des pistons qui sont dans les pompes R. D'après cette courte description on doit concevoir qu'à chaque revolution de la machine, les ovales écarteur des deux pièces G, H, quatre fois chacune et qu'en même temps les tirant KL font lever autant de fois les pistons des pompes ; l'on vois par la situation des croix que l'une est dans sa plus grande levée qu'est de 31 pouces, tandis que l'autre est au plus bas. [illisible] diminus le nombre des chevaux que l'on appliquait à cette machine on y fait l'addition dont le détail suit, voyés figure deux ; S est une caisse ou reservoir plein d'eau qui lui est fournie par un petit canal ; ce reservoir est supporté par quatre pôteaux semblables aux deux que l'on voit. T un balancier, V un autre balancier [illisible] avec chacun une caisse fixée à leurs éxtremités, W, l'un des supports des dites balanciers y ayant leur centre de mouvement sur leurs tourillons X. une tige qui leve l'une des bombes, l'autre n'est point vüe ; Y piece de bois ayant son centre de mouvement dans l'un des supports de la caisse S, . La tige de la bonde passe dans cette pièce et y est arrêtée par une cheville de fer. Z autre pièce de bois verticale fixée à la premiere par un boulon. & cheville de bois implantée dans une piece transversale aa, tirants de fer fixés aux demi croix par leur partie ferieuse et par leur bout supperieur aux balanciers et V. Il est maintenant fait de concevoir