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TERRAIN HOUILLER DU LIMBOURG NÉERLANDAIS.
NOTICE
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tz,Ir
SUR
LE TERRAIN HOUILLER DU LIMBOURG NÉERLANDAIS
\. Par M. BOGAERT, ingénieur des mines des Pays-Bas.
Dans la présomption que le terrain houiller connu du bassin de la Wurm, situé au nord d'Aix-la-Chapelle, s'étend davantage vers l'ouest et le sud-ouest, une société se forma à Liége, en 1840, pour l'obtention de concessions dans la région où l'on pensait devoir rencontrer le charbon. Cette
société trouva inopportun de faire des travaux de recherche, avant qu'on ne fût assuré de la construction d'un chemin de fer destiné au transport du charbon et décrété en 1845, pour relier la houillère domaniale de Kerkrade à celui
d'Aix-la-Chapelle à Maëstricht, chemin de fer auquel les siéges d'exploitation pourraient être rattachés. (V. PI. VIII.) En 1857, une société néerlandaise se constitua pour faire des recherches géologiques. Elle commença par faire des sondages et autres travaux de recherche dans la partie méridionale de la province de Limbourg, notamment près de Kuttingen où le schiste houiller vient au jour (Pl. VIII!. On trouva dans tous les environs, à Terzyt, Kleinkullen, 8milberg, Bommerig, Camerig, Terpoort, etc., le schiste houiller à une assez faible profondeur, soit 5o à 5o mètres de la surface
- mais il fut bientôt reconnu qu'on était là
dans une partie stérile. A la nouvelle qu'une couche de charbon avait été recoupée dans les environs de Horbach (Prusse), la société néerlandaise, plus diligente que la so-
ciété liégeoise, fit immédiatement un sondage à Flans (n° 1, PI. VIII). Le
schiste houiller n'y était qu'il i 5m,95 de profon-
TOME X, 1876.
6' livraison.
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