Cours d'exploitation des mines, [professé à l'Ecole royale des mines en l'Hôtel des Monnaies de Paris durant les années 1780]. [Page 130]

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|130 |entre par la partie inférieure du plancher et de porte juqu'à l'extremité de la galerie, ou le plancher est interrompu, et ressort par la partie superieure jusqu'à l'embouchure éxtérieure de cette galerie, ce qui y établit la circulation, mais comme elle serait interrompüe au printemps et en automne, par les raisons déjà déduites, il convient de faire un puits sur le penchant de la montage qui descende sur la galerie. Voyés cette galerie : en AB planche 5 figure 2 et le puits dont on vient de pqrler en C à la lettre D on voit le plancher et le passage de l'air en dessous, on place une porte en F qui [Couche,] assez hermetiquement la galerie pour que l'air ne puisse pas passer en cet endroit cette porte se ferme d'elle même quand il passe un ouvrier. On suppose maintenant que la galerie [illisible] avancée jusqu'en D de 300 toises à partir de son embouchure B, l'ai entrera en E en dessous du plancher et continura en E en dessous du plancher et continuera sa route jusqu'en D puis e repliera pour revenir par la galerie sorti en C orifice du puits, ce qui etablit une circulation d'autant plus forte que le puits est profond ; s'il n'a que quelques toises. on est quelque fois obligé d'en faire un second dans unepartie plus élevée de la montagne, comme ici en G pour lors on peut constituer la galerie illisible] y manquer d'air salubre ; [mais?] ou prolonge le | |ECOLE DES MINES de Paris Bibliothèque