Annales des Mines (1843, série 4, volume 4) [Image 91]

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8 EXPÉRIENCES FAITES, ETC.

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CONSIDÉRATIONS

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CENDRES

DÉSIGNATION

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ROUILLES.

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Houille n. 2

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-1-105 (couche du toit.) 16

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-n. 3

32

4,5 16

-n05,(couche durrtur.) I:, 85 18 - n. 6 18,5 81,5 20 Mélanges des couches

2,5 et 6.

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SANS CENDRES.

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73

D.

(1)

Sur la puissance mécanique et la puissance calorifique de la vapeur. - Application d saline de Dieuze. Par M.J. LEVALLOIS, Ingénieur en chef des mines.

gr,

26,5 56,5 23,1 76,9 21,55 3,5 77,5 19,6 8o,4 31,25

13,5 70,5 18,5 81,5 27,21 15,4 69,7 17,7 82,3 22,00 16,3 65,2 22,1 77,9 26,4,1

18,9 63,1 22,2 77,8 25,7)

(i) Pour s gr. de houille.

La houille n° 3, qui est la plus pure, donne seule un coke agglutiné et légèrement boursouflé. Les cendres sont blanches. Les autres houilles

donnent des cokes très-peu agglutinés, presque

pulvérulents, dont les cendres sont d'un gris légèrement jaunâtre. Ces houilles sont donc peu

ou point collantes, et ne contiennent point de pyrites.

Les résultats des essais, quant à la proportion de charbon et au pouvoir calorifique, s'accordent bien avec les usages connus des houilles. Nota. Ces derniers essais ont été faits dans le laboratoire cl'Alais par M. l'ingénieur Garella , avec la coopération de M. le garde-mines du département du Gard.

qui La vapeur et par conséquent le combustible puissance sert à la produire portent en eux une mécanique et une puissance calorifique. L'effet d'un kilogramme de houille appliqué à produire de la vapeur, pour agir comme puissance -mécanique , est d'autant plus grand que la vapeur est employée à une pression plus forte. L'effet d'un kilogramme de houille appliqué à produire de la vapeur, pour agir comme puissance calorifique, est rigoureusement le même, suivant pression de certains physiciens, quelle que soit la

la vapeur, ou tout au moins, suivant d'autres,

sensiblement le même , dans les limites ordinaires de la pratique.

De là, il suit que la vapeur, en dégageant sa puissance mécanique, ne perd rien de sa puis-

puissances peusance calorifique. Ainsi ces deux concurremment , et l'on n'a vent être développées quand tiré tout le parti possible de la vapeur, que .on l'a épuisée sous l'un et sous l'autre rapport. semblerait donc qu'on fait un emploi mal raisonné

de la vapeur et du combustible, toutes les fois

qu'on les utilise seulement pour la force motrice,à recèlent : ou seulement pour la chaleur qu'ils supposer, bien entendu, que l'on soit en position

f,alnife.17