Statistique de l'industrie minérale et des appareils à vapeur (1873-1875) [Image 13]

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—XX— indigène et les importations étrangères en sont presque également et simultanément affectées. de la des souffrances reflet le est La dépression très—accentuée de 1870—1871 la touche en ce la de Moselle, houillères la des pro- elle qui guerre; représente perte consommation. la touche Mais, ce en du la diminution et territoire, qui duction, malheureu- marche ascensionnelle, sa dés notre industrie bouillère a 1872 sement arrêtée Les repris européenne. , la crise 1874 par de l’exploitation oll’rent en progrès un caractère tout général à fait et dans le bassin d’Alais. irrégularités négligeant lignes diagraphiques, de la le total houillères de nos produc— accidentelles, tant pour la production que pour reconnaît on ces dernières dans années, 1 tion et (les importations depuis 181 jusque encore mieux ou forme d’une la à ces suivent aisément que parabole peu près lignes intervalle cet semi-séculaire, il faut conclure D’où d’une logarithmique. que, pendant se sont dévelop— minéraux combustibles de consommation notre production et notre sensi- ont et l’autre l’une des une loi augmenté simples: plus théorique pées d’après blement en progression géométrique. La période de doublement a été approximative— la ans 13 à et de 1[1 la consommation de 1 2 ans ment productiou. pour pour cer— formuler aussi de des bouilles Les diagrammes des prix moyens permettent sur le minéraux combustibles des Le taines conclusions intéressantes. prix moyen et 1852 entre à 1833 de stationnaire a été ans, 9 carreau des mines pendant vingt Si l’on observe l’allure des leurs , 1856 à liant, de 1 1859 ; le traité de correspondant 860 à 1 à 870;enfin 11 commerce l’r. '50 à un deuxième niveau, ainsi dire, élevé, pour (le ans il est resté 01‘1 seulement, francs, quatre de cent. 1 860 l’a ramené à environ, il s’est élevé derecbef et auquel un il s’est d’un tel bond moins peu dix ans, pendant niveau tenu qu’il a un atteint, environs de 15 francs, redescendre ensuite de francs, 7 pour près Le prix moyen des bouilles sur les lieux de consommation a suivi a été officiellement des où il années analogue depuis 1847 (la première aux 1 (les mouvements de hausse et de baisse plus accentués. Somme toute, en le complete neurs tlvement ao croira nt 1873, 1876. en une tableau decrmssant, en ’ ' 833, le nombre de ces mi- mines, alterna— de 21 1 a 33 2, en passe augmentatmn de Celui des ouvriers employés surles houilléres s’est s 1 oo. et p. la Pl‘OdüCthI‘l, tout a graphique. Depuis 1 exploitation et des 1l 1833, de a été suivant en porté ’ a ’ plus de développé parallèlement une un progression peu moins rapide de 15 fioo 111,000 en 1876, en doublant au bout de chaque - . de plus à ’ seize ans. , . , _ se re- , en — La representation du nombre annuel des mines de houille en période Le bassins. bassin de nos chacun un bien différent, grands pour degré qu’à marquent, l’activité surtout s’est fait observer, de Valenciennes, comme on l’a déjà signalé par de la bassin du de celle moitié la n’était de ses mines; sa Production, qui guère que Loire en 1836 est devenue le double. L’extraction s’est aussi beaucoup développée il s’est ensuite 10 francs tonne; par entre 12 l’r. 50 cent. et 13 compris xxt —— marche relevé), l’amé- malgré avec l’abaissement des droits d’entrée des combus- lioration des voies de transport, malgré tibles étrangers, le prix moyen de vente des bouilles a augmenté, pour ainsi dire, il a à de année 1833 série partir laquelle jusqu’en 1873, d’étapes, depuis parune subi une dépréciation importante, mais probablement temporaire. TOUBBE. Prpduction de 1873 (11‘875. —_ Les gisements de ce combustible, intermédiaire entre un grand nombre de nos départements. {5anqu Ë: 1:1 leiglnite; 50111315 ‘disséminîs (lalns ‘ es our beaucoup plus grande, leres vallées}; faibl’é’ Pîîllemlîîlïänîîelîl’; te’d abl’ndan’e avallec p sur dans les de la somme. ate es s . n , ans La production de la tourbe a très-légèrement décru de 1873 à 1875, passant à 324,092 317,748 tonnes. Le département de la Somme fournit annuellement non loin de la moitié la totale de tourbe extraite. Viennent ensuite quantité Loue-Inférieure, l’Isére et l’Aisne. En. fourni 1873, le nombre des départements producteurs, des que quantités 1nsignifiantes de Les tableaux n°s 8, 8 bis et 8 ter J I flux de tente. 1 geneialement suivant les — Les tourbes,qu1 départements, a en leur extraction. Le prix moyen de vente de avoir t u 99 cent. en pendant les Ouvriers Sauna 187-2; employés à 35. cette productiou. raison surtout du coût de la main-d’œuvre consacrée à combustible, évalué précédemment à 1 o ou 1 1 francs subi, depuis .1 873, quoiqu’à un très—faible degré, l’influence été treis années manière rautre a ce à porté 11 ’ ' a 10 l’r. [15 cent, à fr. 41 cent. 11 fr. 3-[1 en 1871 cent. et à 11 et ‘ a fr. 51 10 fr. cent. suivantes. [exploitation L’extraction de la tourbe a lieu intermittente, au printemps presque exclusivement. Elle n’emploie pas des tourbières. à —— personnel emmes et n’ont peuvent pas supporter de longs transports, sont proximlté des tourbières; leur prix varie notablement du charbon. Il selevait il la ne " renc le détail de quelques-uns Clc ' consommées semble par tonnhe, érissem ent dont tourbe, s’est élevé indiquent ’ l’Oise, le Pas-de-Calais de CBllll des cultivateurs. Le nombre de ces que ouvriers, hommes enfants, tres—difïimle a déterminer exactement, a été approximativement de ‘ . n 3 ‘ , n l).