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DES MINES DE GARDANNE A LA MER
CONSTRUCTION DE LA GALERIE SOUTERRAINE
N augmente et T diminue ; le rapport
COURBE DES PRESSIONS X)X'.
DISTANCE
1
- ,«
1,.AISSEUR /
PRESMONS
°
des
normales
° el
joints
N
.. . 1
2 3 4 5 6 7
.
à.
l'arête la plus rapprochee
RAPPORTS
PRESSION
PRESSION
maxima R
tangente
T
T
71
a mètres 3.800
-
--
kil.
60.000 64.000 70.000 84.000 91.000 98.000 106.000
diminue, il n'y a plus
danger de glissement, mais il y a danger d'écrasement, car R = 3a (pour a < -1) dépasse bientôt la limite adoptée de 10 ki3 logrammes par centimètre carré et, pour qu'il n'y ait pas danger d'écrasement, il faut encore augmenter l'épaisseur de la voûte.
On comprend qu'il y ait une épaisseur de voûte minimum kil.
0,440 0,550 0,850 1,200 1,400 1,060 0,780
90.000 77.500 55.000 45.000 36.400 61.800 90.000
pour une valeur de r convenablement appropriée, et c'est ce que permettent de vérifier les épures de Durand-Claye et de Méry.
kil.
40.000 78.000 118.000 112.000 106.000 100.000
0,625 1,110 1,400 1,230 1,080
0,940
Nous voyons que la pression maximum ne dépasse pas sur les
joints 10 kilogrammes par centimètre carré et que le rapport Ntendant à reproduire le glissement ne dépasse pas 1.400, qui est
bien inférieur à l'adhérence que produit un bon ciment. Les trois conditions d'équilibre sont ainsi vérifiées.
Ce barrage cylindrique (fig. 29), construit à la cote 122 niveau Léonie a, comme dimensions : ouverture de la voûte ou largeur de la galerie, D = 2m,500
FIG. 29.
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r, rayon de l'intrados = 3.,00; f, flèche à l'intrados = 12 ' = 3rn,00 e, épaisseur voûte
L'épure.montre que, si f diminue r augmente, la composante normale N à chaque joint diminue, et, au contraire, si la compoaugmente et, pour sante tangentielle T augmente, le rapport qu'il n'y ait pas danger de glissement, il faut augmenter l'épaisseur de la voûte. Au contraire, si f augmente, r diminue, et l'épure montre que