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I5ES MINËS tJ1
'et une Variation de vitesse, de zéro à pleine charge, 1) 100; 2° Pour la dynamo génératrice, une. énergie électriqu,
dépassant pas 5.
de 33.000 watts à
600
tours et 110 à 120 volts dam
chaque circuit avec une puissance sur l'arbre de 50 chevaux effectifs, sans échauffement anormal en service continu, et, à moins de projection directe' d'eau sur la dynamo, la possibilité pour celle-ci de supporter sans danger l'humidité de la galerie ; 3° Pour les conducteurs, l'absence de danger au contact accidentel par les hommes, une perte de tension ne dépas-
sant pas 20 p. 100, pour une distance ,maxima
GA1MAI\ÎNÉ A LA MU
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6.600 10 chevaux effectifs en nombre rond. 736 0,9 On voit que chaque perforatrice en marche ne demande
sur la turbine qu'une force de 3,3 chevaux,
comprises.
toutes pertes
La perte de ligne, due à la résistance des conducteurs, intervient dans les pertes totales pour 1 p. 100 environ par 100 mètres de longueur, et dans les conditions d'exécution existantes. J'ajouterai ici, après trois ans de fonctionnement de cette installation, qu'elle nous a donné toute satisfac-
tion.
L800 mètres sans èmploi de transformateurs, et au-delii de 1.800 mètres jusqu'à 6 kilomètres, au moyen de trans-
formateurs
4° Pour le chariot et les perforatrices, une vitesse du perforation effective, dans le calcaire dur et compact de la galerie, de 9 à 10 centimètres à la minute, en moyenne, et pour chacune des trois perforatrices, forant des trous de
45 millimètres de diamètre, même dans le cas on trois chariots, de trois perforatrices chacun, fonctionneraient simultanément.. MM. Dubs et Rocour garantissaient, en outre, qu'avec un seul chariot de trois perforatrices en action, il resterait sur la dynamo génératrice une _énergie électrique d'au Moins 22.000 watts, soit d'environ 33 chevaux sur l'arbre de la turbine, énergie pouvant servir pour la traction électrique des wagonnets de déblais au moyen d'une petite. locomotive .électrique. Des essais entrepris, le 7 février 1896, ont démontre que les trois perforatrices fonctionnant simultanément de
absorbent;, pertes de lignes comprises, une énergie 6.600 watts sur la dynamo. Le rendement de cette dernière étant de 90 p. 100, la 'travail de ,la -turbine a été, dans ces -conditions, de
Description des appareils de perforation électrique. J'emprunte à M. Dubs, d'après sa conférence de la Société scientifique industrielle de Marseille, 1896, à la des-. cription suivante de nos appareils de perforation électrique.
« Turbine.
La turbine, provenant des ateliers de
MM. Escher, Wyss et Ci° à Zurich, est du système à action
directe et à arbre horizontal. Elle se compose essentiellement d'une roue en fonte, munie à sa circonférence d'un certain nombre d'augets en forme de cuiller,
sur lesquels est dirigé tangentiellement le jet .d'eau réglé par une languette actionnée par le régulateur. Ce genre de roue est connu sous le nom de roue Pelton (Voir ci-après
le desdestiné surtout à expliquer làrégulation de la turbine, .et voir pl. IX,. fig. 5, le dessin complet de la sin fig. 8,
turbine).
« Dans ce genre de turbine, l'eau sous pression agit
uniquement
par sa force vive, la forme des augets étant
d'ailleurs étudiée en vue- de la meilleure utilisation possible de
l'énergie. Il s'agit, dans l'espèce, de diminuer grajusqu'à zéro., la vitesse des molécules d'eau
duellement,