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----...... DATE ET LIEU
CIRCONSTANCES DE L'EXPLOSION
RENSEIGNEMENTS SUR L'APPAREIL
de
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L'EXPLOSION
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26 septembre 1872.
Limoges.
Chemin de fer d'Orléans.
Arrachement de la calotte du dôme, qui a été projetée à 100' Locomotive mise en service en 1865. Chaudière en acier fondu, du même de distance. La rupture a eu lieu au-dessus de la rivure, dans la partie moyenne de la surface d'emboutissage. type que la précédente. L'examen de la cassure a révélé, sur une demi-circonférence, Dôme de 0m,90 de diamètre, surmonté d'une calotte emboutie sur ses bords et une altération du métal s'étendant depuis l'intérieur, jus-
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portant en son centre le piètement des qu'à 4, 5 et 6", parfois sur toute l'épaisseur. Sur le reste de la soupapes. L'épaisseur de cette calotte va- circonférence, une altération semblable s'observait seulement riait de 6",5 à 7" en général, et de 6 à sur une longueur de 0',20. Il y avait en outre des gerçures au voisinage de la ligne de rupture. 7"'"' dans la section de rupture. On a rapporté ces altérations du métal, au travail d'emboutissage; nous ,pensons qu'il y a lieu d'y voir aussi, ainsi que l'avait indique M. l'ingénieur des mines Orsel, le résultat des flexions.
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C
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17 juillet 1879. Caen,
Chemins de fer de l'Ouest
(ligne de Paris à Cherbourg).
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Explosion de la calotte du dôme, à la première chauffe après Age, vingt-quatre ans. Timbre, 7,,5. Le dôme avait à son sommet une calotte la réfection de joint mentionnée ci-contre, et au moment ou la hémisphérique en fonte, de 0",60 de dia- machine venait se mettre en tète d'un train de voyageurs. Il fut mètre et 25" d'épaisseur, présentant à sa reconnu qu'il existait vers la base de la calotte, dans la ligne sui-
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La calotte supérieure du dôme s'est rompue au droit de la
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base une collerette que vingt boulons vant laquelle celle-ci s'était séparée de la collerette, une fente fixaient sur une bride, portée par la par- ancienne, longue de 260" et profonde de 20" en son milieu. Accident rapporté à la réunion des deux circonstances suilie inférieure cylindrique de ce dôme. Avant l'accident, on avait eu à lever la vantes : existence de cette fente ancienne, et serrage exagéré de calotteAu dôme, après quoi on l'avait re- la collerette, que les boulons pressaient en porte-à-faux, à, cause mise en place en faisant le joint au de la présence du cercle en cuivre. moyen d'un fil de cuivre disposé en cerde et serré entre les deux brides. Dôme cylindrique :
25 mars 1887.
Frontignan. n'r.`r.'rise. `;° f`.
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partie emboutie. Il existait au milieu de cette partie une fissure préalable, intéressant toute l'épaisseur de la tôle sur 230" de 0 970 développement, soit sur la presque totalité d...1 la circonférence. 0 011 Epaisseur Cette fissure, dénoncée extérieurement le 13 mars, par une fuite de vapeur, avait été reconnue le 200... de développeTerminé à sa partie supérieure par une ment. C'est par suite d'une erreur2-4, quesur la chaudière avait été.
Diamètre intérieur. . Hauteur totale
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D. Explosions ayant pris origine dans le foyer. D
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.1 mars 1849.
Locomotive construite en 1841. Dimensions du foyer
0'0,78 Longueur I 01 Largeur. A Versailles, 1 15 Hauteur dans une tranchée ouverte Le ciel du foyer, en tôle de cuivre, pour la construction était raidi par six cornières pladu chemin de fer de cées longitudinalement, mais s'arrêtant de Chartres:
Cette explosion a été décrite dans un rapport de M. l'ingénieur
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des mines Sentis, inséré aux Annales, 40 série, t, XVI, p. 81
Le ciel du foyer s'est déchiré sui. toute sa largeur à, 0",06 de la face arrière et s'est replié suivant une ligne voisine de la plaque tubulaire. La chaudière a été jetée à 20" en avant, avec la par-.
tie antérieure du châssis, lequel s'est rompu en avant des roues d'arrière ; la partie postérieure du châssis a été projetée en arrière, par-dessus le tender. L'accident est attribué principalement à. un défaut de construction, le ciel du foyer n'étant pas convenablement armaturé. Le même vice de construction avait, en 1846, amené la déforma-
à 0,05 des bords des parois d'avant et tion du ciel du foyer d'une chaudière livrée par les mêmes ate-
- les deux cornières moyennes lier à la compagnie du chemin de fer de Sceaux. Cette compagnie
Machine appartenant d'arrière étaient reliées au sommet de l'enveloppe avait alors modifié les armatures des quatre foyers de ce système au matériel qui lui avaient été fournis. du foyer. du chemin de fer Timbre, 5°`". de Versailles La chaudière était sans manomètre et ( rive gauche ) son tube indicateur était peut-être en mailet louée vais état. aux entrepreneurs des travaux.
Voir la fig. 9, Pl. XII. Machine construite et mise en service La plaque arrière du foyer, sous la porte de chargement, s'était en 18.17, rééprouvée en 1850; dernière corrodée tellement, qu'elle n'avait plus, en un point situé à 00,10 réparation, avec renouvellement de la tu25 septembre 1853. bulure, en janvier 1853. sous le milieu de cette porte, que 1 ou 2" d'épaisseur sur 0'2,25 ou 0'2,30. Son épaisseur, graduellement croissante autour de cette Timbre, plage, n'atteignait 6 ou 7"."., qu'à 00,40 de distance du point le Parcours total, 149.000,,. Enghien. Parcours depuis la réparation subie en plus faible. Les têtes d'entretoises étaient rongées. A une pression qui n'excédait pas 6"", et tandis que la majanvier 1853, 29,800'. Chemin de fer La plaque arrière du foyer était entre- chine était en stationnement, cette plaque corrodée s'est déchidu Nord. toisée de 10 en 10e".; son épaisseur. pri- rée horizontalement, sur toute la largeur, à 0.",10 au-dessous de la porte et s'est repliée à l'intérieur du foyer, laissant une ouvermitive était de 11 à 12" (cuivre). D
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ture béante, rectangulaire, de 0M2,54; sur cinquante-quatre entre-
toises environ mises à nu, une seule a été brisée, les autres ont lâché prise.
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