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ET DES ENVIRONS.
SOURCES MINÉRALES DE VICHY
jauge placé sur la paroi verticale du bassin, à om,5i en contre-bas du dessous de la grille du cub. deg. C. réservoir, par MM. François et Boulanger, de. 63,009 à 29,90 en 1857, an niveau du trop-plein du bassin, par 53,000 11 :ç_1,70 M. François, de
en novembre 1855, au robinet de jauge, par M. François, de 63,to à 5I,7o du 17 au 20 mars /856, au robinet de jauge, par MM. François et Pigeon 47,439 à 30,70 du 17 au 20 mars 1856, à la bonde de fond (l'eau de la source s'écoulait depuis 24 heures à ce niveau), par MM. François et Pigeon 49.627 à 34,55 le 13 octobre 1869, à la bonde de fond, par M. de Gouvenain 51,391 à 55,7o le 14 octobre 1869 (le jaugeage de la veille ter-
miné, on avait replacé la bonde de fond et laissé couler la source par le tuyau d'alimentation des bains de l'hôpital civil, dont un joint avait été démonté à cet effet; il y avait ainsi
im,76 de charge d'eau sur les griffons), par M. de Gouvenain.
48,965 à 34,5
Le 26 juillet 1875, à 2 heures du soir, la température de l'air étant de 51° et le baromètre marquant 757mm, M. Des Cloizeaux a trouvé à la buvette une température de 540; l'eau de cette buvette, ramenée à la température de 90, avait une densité de 1,0025 (*). Nous avons indiqué sur la fig. 2 (PI. IX) la position des sources parasites mentionnées ci-dessus. La source Collas se trouve au point C, au bord de la rue de la Porte-de-France, dans une petite cour attenante à la
maison Forestier; elle est recouverte par une dalle et sa position est marquée par une borne. En voulant creuser une cave dans cette même maison Forestier, on a trouvé presque à fleur du sol un travertin calcaire, dont la dureté a fait renoncer à ce travail ; dans ce travertin, on a remarqué, au point D, une fissure béante, (*) D' Zénon Pupier, /oc. cit.
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dirigée vers la source de l'Hôpital, remplie d'eau minérale et dans laquelle une tige de fer a pu librement pénétrer jusqu'à 2 ou 3 mètres de profondeur. La source Paeaud-Petit est au point E, dans la cave de la maison Jardin : il y a là, clans le travertin, un petit bassin à moitié rempli d'eau minérale stagnante. Une autre source semblable à la précédente existe au
point F, dans la cave de la maison Grolleau ; elle est recouverte par une dalle.
Nous n'avons pu nous procurer aucun renseignement précis sur les pertes de la place de l'Hôtel-de-Ville (ancienne place du Fatiteau). Au point G, en faisant des fouilles pour les fondations de la maison Forge, on a mis à jour, à 3 mètres de profondeur, une source minérale abondante, que l'on a aveuglée immédiatement. Il paraît qu'il y avait autrefois une buvette à cette source, qui se trouvait au pied de l'ancien rempart, près de la Porte-de-France. Au point H, une cave a été entièrement creusée dans le travertin, où l'on observe de nombreuses fissures verticales, dirigées vers la source de l'Hôpital et remplies d'un calcaire pulvérulent. Il n'est pas douteux que ces fissures ont jadis livré passage à l'eau minérale, avant d'être obstruées par ce dépôt.
Il est à noter que tous les points que nous venons de mentionner, y compris la source principale et l'ancienne source de la place de l'Hôtel-de-Ville, sont situés dans une zone étroite et allongée de l'Est-Sud-Est d V Ouest-NordOuest.
Sources des Célestins. Les Célestins
constituent aujourd'hui un groupe de
cinq sources, dont quatre seulement sont utilisées et ont été désignées par M. l'Ingénieur en chef de Gouvenain, lors de l'enquête relative à l'institution du périmètre de