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A L'HISTOIRE DES TERRAINS D'EAU- DOUCE.
RAPPORT SUR UN IVIi.MOIRE RELATIF
sur l'état ancien des seignemenS très-vagues appartenu ; que coquilles auxquelles ils ont -effacées , que les .les stries sont plus ou moins le test luipoils ou épines ont disparu , que et qu'alors souvent , même manque le plusintérieurs Ou de simples les moules on n'a que empreintes. » apporter une Il fait sentir qu'il ne faut pas la détermination dans rigueur mathématique_ l'observation prouve parce que des coquilles, même espèce le nombre des tours que dans uneinconstant, et que la bouche varie de spire est .suivant l'âge. ajouter, qu'en remonNous croyonS-.devoir considérations , et dontant à de plus hautes caractères les plus na-nt la première place auxéloigné regarder importuns , on doit êtrevaleur, lesderenseigne, comme étant de même l'étude des formes des de mens que l'on tire .que l'on obtient de l'exacoquilles , et ceux des animaux meri attentif des débris osseux derniers étaient pour classes. Ces des premièresbase, de l'organisala charpente ainsi dire la ils appartenaient
- au.
tion des êtres auxquels sont que la traduccontraire , les premiers ne extérieurs , qu'une organes il est vrai, à protion dé quelques destinée , simple excrétion essentiellement mous, mais téger des animaux cependant ont la propriété dont quelques-uns cet appareil de défense. En effet, de vivre sans cles oiseaux et des reples os des mammifères , poissons , ainsi que les tiles , et les arêtes des cornées des .:. tests de crustacés, et les enveloppes immédiats d'une des 'insectes , sont des agens qui aient été attriplus importantes ,
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.
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fonctions les
buée
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buée aux animaux, la locomotion, tandis que le test des mollusques est pour ainsi dire un obstacle à l'exercice de cette fonction; les plus parfaits de ces animaux sont nus. Néanmoins, en donnant la prééminence aux caractères 'les plus importons, il ne faut pas négliger les considérations secondaires ; les uns et les antres s'appuient réciproquement ; seulement les premiers sont d'un plus ferme secours que les derniers , et l'observation doit se servir de tous deux. Cette manière de penser, M. Da.udebard de Ferrussac la partage avec nous. Aussi, clans un travail qu'il se propose de publier incessamment, n'adopte-t-il pas la méthode des anciens conchyliologistes, qui n'avaient en vue que les coquilles renfermées dans leurs collections et qui S'inquiétaient bien peu des habitans de ces coquilles. Aussi n'adopte-t-il point la classification propc5Sée par Adanson , uniquement basée sur les caractères des animaux, abstraction fàite de leurs coquilles.
Il ne partage pas non plus les principes du savant professeur M. de Lamarck. qui , se ser'vaut de l'animal et du. test pour établir ses caractères génériques , donne la prééminence aux caractères tirés rie l'examen attentif de la dernière de Ces parties
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Il attribue à .1./1. de Ferrussac son père, naturaliste avantageusement connu, l'idée première
de placer au premier rang, les caractères tirés de l'observation, des animaux, en se servant Volume 34, n°. 199.