Journal des Mines (1810, volume 28) [Image 218]

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SUR L4 MINE .D1`, cuivar, , etc.

mens à angles droits du premier. On établirait ces percemens principaux, 'soit dans le filon même

SECOND MÉMOIRE (i)

soit dans les parois , suivant que la

roche serait plus traitable.

Selz les Pyromètres , ou Thermomètres en terres cuites (2).

Conclusions.

Par M. FOUR MY.

La mine de /cuivre de Rosiéres , qui a été

anciennement l'objet de travaux d'exploitation assez considérables , paraît très - susceptible

DANS un Mémoire lu à l'Institut le 6 pluviôse

d'être reprise si on en juge par la qualité du minerai , la puissance et l'allure régulière du filon, ainsi que par l'étendue des portions qui n'ont point été travaillées. Cette mine est dans le cas d'être concédée -

an

siblement. J'avais cru d'autant moins nécessaire d'insis-

dès qu'il se présentera des entrepreneurs ; mais avant d'en recommencer l'exploitation , irsera prudent de s'assurer, par des recherches, si le minerai est assez abondant pour que la reprise. des travaux puisse être suffisamment..lucrative , vil. le prix actuel du cuivre dans le Commerce. J'estime qu'une somme de io,000 francs se, rait suffisante pour faire ces recherches,

Fait double. , le. A

.

.

, etc.

au sujet des pyromètres basés sur la re-

traite de l'argile, j'ai fait en. sorte de démontrer que cette propriété n'est pas développée par la seule intensité de l'action ducalorique , et que la durée de cette action y concourt sen-

ter sur une notion aussi répandue, que, :d'une part, je n'étais pas le premier qui l'eût avancée (3) , et que, d'une autre part, il n'est aucun de ceux qui s'occupent d'expériences pyrotechniques qui n'ait observé que les briques, les creusets et tous les ustensiles de terres cuites

.

(i) Le premier Mémoire est imprimé dans le Journal des 84, pag. 423 et suivantes. (2) Ce Mémoire a été rédigé le 14 février 18io. (3) Entre autres propositions plus ou moins tendantes à établir cette notion , M. Loysel , dans son Essai sur l'Art de la Verrerie, a émis celle-ci ( page 61). c, Le teins nécessaire pour y parvenir ( à élever te feu au degré convenable ) , est ordinairement trois on quatre jours ; mais on aurait tort de penser qu'il ffit suffisant pour donner aux .3, pots toute la retraite dont ils sont susceptibles. Ils n'y parviennent souvent qu'après cinq ou six jours, au moins' dans les parties les plus épaisses »,

Mines, -

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