Journal des Mines (1810, volume 28) [Image 135]

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THÉORIE 264 'autre par des fizces planes en subissant le Même aplatis.sement pécc 20'. Il n'arrive à cette occasion aucune des molécules au nétration ni condensation leurs stalaces plan d'application , mais teikdent suivant des plans pour pouvoir s'a»?' pliquer

l'une à l'autre

cc 3°. La hauteur o i ou is ( fig. ) de l'aplatissement que subissent deux molécules est égale au sinus verse d'un anale a A i

.

DE LA CRISTALLISATION. 265 centre. Ainsi chacune de ces parties cristalli-

. nes qui est déjà une p etite molécule intégrante , contiendra à son centre l'eau cristalline, non

pas à l'état de glace, Mais à l'étatflaide.. 9. L'auteur admet ensuite, cc Que tous /espetits globules que fbrme un ménze corps dis. sou/ dans son passage de l'état iluide à l'état solide ou dans sa précipitation, devront être 4,aux entre eux, puisque leur

?)a B i, ayant pour sinus a i ou le rayon du

grosseur ne peut dépendre que de la nature de ce corps et des rapports de ses fbrces j)primordiales entre elles

p l'angle d'aplatissement ( applattung's wir-

dens

sD kel

tradicteurs. Ils out donné lieu à plusieurs notes du traducteur : nous aurions eu également bien des objections à faire, mais ce Mémeire étant déjà très-long, nous avons jugé devoir I es supprimer, et d'autant plus que nous n'avons donnéq uè par extrait les principes généraux de M. Prechtl. Après avoir expesé toutes les idées préliminaires dans les neuf premiers paragraphes l'auteur entre en matière , et ici nous allons conserver son texte afin Line nos lecteurs puissent saisir plus complètement l'ensemble de sa théorie.

nommé D, cercle d'application. Cet angle sera

Quatrième proposition. cc L'attraction ré. cipro que qu'exercent l'une sur l'autre des particules homogènes , est infiniment plus Ji te que celles qu'elles peuvent éprouver de la part des particules hétérogènes.. L'auteur regarde ce principe comme étant une loi générale de la nature à laquelle il n'y a d'exception que pour les fluides électriques et magnétiques. Il) considère ensuite ce qui doit se passer .dans une dissolution lorsqu'elle commence à .cristal user. 8.11 pense c, Qu'une partie dzt dissolvant devra nécessairement rester uni au corps dissout après sa précipitation cc En eget, dit-il , puisque chaque molécule 7.

.

en cri4çz1 lisant doit prendre d'abord lafbrme l'étatliquide à D) arrontrie,eteze son passage de

solide .n'est que successif (suivant les deux premières propositions), la coagulation aura lieu par couche de la circoiy'drence

Tous ces principes sont loin d'être assez évi-

pour ne pas trouver beaucoup de con-

De /a fôr/nation des molécules intégrantes des

cristaux.

19. Ces globulesque, pour abréger, je nommerai à l'avenir globules de formation et qui naissent subitement et au même moment dans ces parties de la dissolution où le disolvant , OU son attraction diminuent , doivent s'attirer T