Journal des Mines (1795-96, volume 3) [Image 235]

Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.

76 ) Hermann , qu'elles sont peu abondantes, Ce métal ne se

irouve à présent qu'à Ptenner ou Brenner. (Esquisse d'une description physique, ec.)

Le mercure _se trouve en petite quantité dans les mines de cuivre en couches de Leogang et de Kirchberg , dans

l'évêché de Saltzbouig. Bereicenn. Journal, 2. année, pages 140, 548. 5, En I-Iongrie. Gabr. Clauder, de Cinnabari nativ 'à hungaricà , long circulatione in majorent efficaciarn fixatti et exaltatii.

r 68, in-4.0 de 68 pages. On a une relation des mines de cinabre et de Jenoe ,

mercure de Sklana en Hongrie, par F. E. Bruchmann,

dans la collection de Breslau. Breslauer net. und Kuest geschichte, 35 ter Versuch. Januar.1 726 , cl. IV,

art. 8, pag. 82.

En Transilvanie.

On connaît dans cette principauté deux mines de mercure , près de ZaIatna ; l'une dans la montagne de Babaia l'autre à une lieue au nord de Zalatna , près de Dumbrowa. Le cinabre s'y trouve

dans un filon dont la gangue est du quartz et du spath. La montagne est de couches de schiste et de grès micacé. Les travaux se bornaient en général en 1774 , à des recherches que les Valaques, qui

sont les habitans de ce canton, faisaient dans les anciennes fouilles. Ils retiraient cependant, par ce: moyen, 6o quintaux de mercure. A cette époque on commençait A. suivre d'une manière plus régulière l'exploitation de Babaia. Lettres sur différens objets dé Minéralogie, adressées-

Dans les mines de la basse Hongrie , on trouve du cinabre dans une argile blanche et molle , niais en trop petite quantité pour mériter d'être extrait. Les travaux où le mercure s,e trouve dans cet état, sont ceux de Siegli,s-berg , du Vindschacht et de la Johanniskluft. Dans les minérais les plus riches de

cette espèce, on trouve quelques deniers d'or au quintal. (De Born.) Cinabre fuligineux sur 'de la pierre calcaire, avec de la mine de cuivre fauve, fahlert , et des pyrites, du Sieglisberg près Schemnitz , cité par Beroldingen , d'après un échantillon qu'il possède.. Werner aioute qu'à Schemnitz le mercure est accom-

pagné de galène

( 77)

,

de blende noire et de pyrites

cuivreuses. A Ros.enau , en haute Hongrie, on trouve le !cinabre avec la pyrite cuivreuse et le fer spathicee. , Théorie des filons , par Verner, , pau. b 64

par Ignace de Born à- J. J. Ferber. -Francfort et Leipsick , 1774- Briefe, &c. 6.

En Polozvrçi..

Raqinshi dans son Eristoria.:noturalis cliriésa repli Polonioe, SAndomir, 17'24 'i/z-4:°, pag'.5 2, cité quelques endroits des environs de Cracovie où l'on prétend avoir trouv.é.du mercure ;, dans la montagne de ZiniriaW6dA. 'à 6 milles de Cracovie ; dans une autre montagne entre Tarnawa et Ribie ; dans célies d'auprèS-cl'è.lEaligrôd (paldtinat de Russie) ; dans la montagifelcIe Babiagdra; 'et dans les monts

Carpathes. Il prétend qu'on en retirait dans la fonte du plomb des mines d'iIkuss. Le procédé en a été décrit., dit-il', par Agazotta , in tripl. philosophià.

7. En Suède. Mémoire de Ode. Istierna, sur le minérai de mercure

trouvé dans fa mine d'argent de Sahlberg ea, Dalécarlie. (Acta litt, suecica, vol. 1.)