Journal des Mines (1795-96, volume 3) [Image 234]

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L'auteur de cet ouvrage ne s'est pas nommé, mais on sait que c'est aussi le professeur Hacquet. La description de la mine dildria se trouve dans le second volume.

Nouveau magasin géographique de Fabri. Fabris geogr. Magasin. .1." cahier. On y trouve un morceau sur la mine d'Idria. Mémoire pour servir à la connaissance minéralogique de la mine de mercure d'Idria; par «Li. M. Mucha. Vienne, Graeffer, , 1780 , vol. de 76 p.

neuer.

Anleitung ur minerai Kentitiziss des quecksilberbergTverks vi Idria. Cet ouvrage contient principalement la description des unnéraux d'idria. L'auteur rectifie quelquefois ce qui a été dit à ce sujet par Scopoli , Hacquet et Ferber.

Dans l'édition des Anicenitates acadtemicce de

Linnceus , publiées à Guetz , on trouve une dissertation de Nicolas P oda , professeur de mécanique à Schemnitz , sur les mines de Stirie , Carinthie

Carniole, &c.

)

la porte qu'à r 500 à 2000 quintaux, et il ajoute que quoique

moins

cher

que celui d'Espagne ,

o florins le cent à la société qui en a. le privilège , et la cour en retire s oo mille florins par an. Dans Ie journal de Schl.zer, Schlôzers Briefivechsel , sixième partie , cahier 3.4-r page 25 8 , on trouve que cette mine rend au plus 2500 quintaux de mercure. Mine à Neumarck , dans la même province.

Scopoli rapporte, dans ses Élémens de Métallurgie,

imprimés à Manheim en 1789 , 2e partie, ch. 3. , que du temps qu'il était médecin de l'empereur à Idria , on découvrit à Neumarck en Carniole ( peut-être Neumarktel), de superbe cinabre cristallisé dans un spath calcaire. En Carinthie.

Près de Clagenfurth , suivant Bruchmann. Magnalia Dei in lotis subterrancis, Brunswick, in-fol.

1727, I .er vol., pag. 6i ;

Voyage de deux Français dans Je nord de l'Europe.

Paris, D esenne i796,tomeVet dernier,, p. 24 et suiv.

on a

peine à en trouver le débit. On le vend, suivant lui,

2.e VOI.

pag. 116.

Le même auteur en indique aussi près de Stokenwoi ( 1." volume, P. 62 ) , et près de Glatschach ( 2.' vol. page 141 ). En Tyrol.

Produit de la mine d'Idria. Suivant le Journal des Savans , on en avait tiré en 1661 , s 662 et 1663, 69 5 3 33 livres de mercure dont 27668 livres de mercure vierge, ce qui ferait 2300 quintaux environ, année commune.

Nouvelle Géographie. Leyp. et GOriitz , 1752,

Scopoli exagère beaucoup, et Bnsching d'après lui, lors-

des Indes. L'auteur cite Ludwig Germanice princi p. , lib. s , cap. 5, p. 1136. On trouve la même chose dans d'autres auteurs. Il paraît

qu'ils en portent le produit à 12000 quintaux, dont un sixième de mercure vierge. 1-lei-mann a donné dans les collections de Wasserl'erg Wasserbergs sanuidungen , un aperçu du produit des mines dldria , tome 1." , n.° 17. Dans son Esquisse

d'une description physique dîs États autrichiens

ne

tome II, pag. 362. On lit dans cet ouvrage

qu'il existe des mines de mercure à Schwatz et en d'autres endroits , et que les mines de mercure du Tyrol sont plus abondantes que celles

cependant que c'est une erreur. Les 'ri:fines de Schwatz sont de cuivre et argent. Les mines de mercure du Tyrol ne s'exploitent pas en grand; il y a,mënle apparence, dit