Annales des Mines (1849, série 4, volume 15) [Image 14]

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Exini.iiià/oNs ET fttigiïmus

En 1830, Il en est arrivé 3 sin un nombre deChia.u1d312sso'it èrere 1.354 En 1832, 2 En 1833, 1.726 1 En 1834, 1 En 1835, 21..38855 1 lie 1935 à 1838, iiiand àèbidène, du moins connu ; Érl 5838, il en est arrivé t sur un nombre de 3.693 I Es 1838, 5.100 I 5.360 En 1840; En 1841, En 1842 et 1843, auctitii

En 1845,_ En 1846, En 1847,

à 6 50

1

pour

1 pour

377 677

1 pour 1.726 1 pour 1.852 1 pour 2.385

1 pour 3.693 1 pour 5.100 I pour 5.360 5.605 soit 1 peur 1.368

9

En 1844, il en est arrivé 2

D'APPAREILS À irliPEUtti

--

6.937 soit 1 pour 3.468 7.694 soit 1 pour 1.232 8.023 soit 1 pour 1.337 8.980 soit 1 pour 898

2. (Nota. On ne connait pas encore le nombre des appareils qui étaient en activité en 1848. On s'occupe de réunir les documents statistiques de cet exercice; mais ce nombre doit être inférieur à Mai dè l'année 1847, beaucoup d'établissements ayant été en chômage iiai giiité de là eibé industrielle.)

En 1848,

eti iiiiii, dans l'eSPaCe de 22 hiiées , ou ii'à eii que 4o accidents pour un nombre d'appareils qui a été de 5oo à 8.000. Jusqu'à la fin de I84o , on remarque que la proportion du nombre des accidents au nombre des appareils employés a toujours été en diminuant. En 1841, cette proportion des accidents a aug-

menté. En revanche, on n'en a pas eu dans les deux années suivantes. En 1844, il y a diminution comparativement à l'année 1841, quoique la proportion soit plus forte que dans quelques-unes des années antérieures. En 1845, il y a recrudescence ; puis une légère

diminution en 1846, et nouvelle augmentation en 1847, qui a été l'une des années les plus malheureuses.

Explosion de chaudières de locomotives. On ne Cori naît, jusqu'en 1848, ciné délit êtplosions de chaudières de locomotives.

L'une est arrivée, en 1845, sur le chemin de fer de Saint-Etienne à Lyon. La chaudière avait été réparée et on ne lui avait 1ias fait subir Une nouvelle épreuve. Le magasin de vapeur manquait de solidité; la tôle était d'une qualité inférieure. On comptait alors, en France, 313 locomotives. La seconde explosion est arrivée,,en t 846, dans

la gare de Corbeil. Elle a été produite par l'im-

prudence du mécanicien ; les ressorts des soupapes

étaient trop serrés. La Chaudière manquait, en outre, de manomètre, et la tôle était d'une qualité médiocre. Dans l'année 1846, le nombre des locomotives circulant sur les chemins de fer était en 1847, de 670. de 461