Annales des Mines (1842, série 4, volume 2) [Image 324]

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DES CALABRES ET DU NORD DE LA SICILE.

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La première que M. Juncker et moi avons vir sitée est celle dite de San-Paolo in Landro. Nous avons reconnu deux orifices de galeries. Celle qui était la plus élevée avait été poussée sur une veine de galène clans du quartz mélangé d'hydrat(

de fer, dont la direction était N. i50 à 200 E avec pente de 35° à 400. La galerie inférieure c'est-à-dire celle la plus rapprochée du ravin, présentait un assemblage de filons convergents, ayant direction E. O., pente 500 N. et N. 2o° E., inclinaison 45°N. O. Comme la première, elles n'ont fourni que du sulfure de plomb peu argentifère.

N" 25 et 26. Redescendant de là aux vieux travaux de San-Giuseppe de Fiumedinisi, nous avons toujours parcouru le groupe schisteux qui renferme pourtant de loin en loin des bandes minées de calcaire un peu manganésien. A San-Giuseppe, les couches de schistes très-tourmentées qui marchent en masses N. 65 à 70°E. avec pente trèsfaible au N. N. O., approchent en quelques points de 100. Le travail des anciens (galerie en allongement de 15 mètres) n'a, fourni que des mouches .disséminées de cuivre panaché. Ils ont cherché à étudier le gîte par deux petits ouvrages en travers d'une couple de mètres, mais bientôt tout fut abandonné. C'est presque en face, de l'autre côté de la rivière, qu'existe le vieil orifice de San-Giovane.

Le peu de déblais existant à l'entour et les rares grains de minerai disséminé ne nous ont pas engagés à faire rouvrir un chantier que les anciens entrepreneurs eux - mêmes avaient considétié 'comme ,peu important. N" ét 28. Continuant là course de San-Gib'-vanni à la contra-da Tripi; clanà)-1W.conunu*

Tome H, 1842.

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