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CIRCULAIRES.
CIRCULAIRES.
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de se livrer à des explorations qui conduiraient proba,-__
MM. les préfets tous les documens relatifs à l'objet de la présente. Recevez, monsieur, l'assurance de ma considération
avec avantage.
très-distinguée. Le conseiller d'état, chargé de l'administration
blement à d'heureux résultats, et d'examiner les lieux où des usines métallurgiques pourraient être établies_
Ce serait là un grand et utile travail, et il serait
désirable que l'administration pût l'accomplir. Malheureusement ses ressources sont insuffisantes pour tout le bien qu'elle voudrait réaliser. Elle n'a plus à sa disposition le produit de la redevance fixe et de la redevance
des ponts-et-chaussées et des mines,
Signé LEGRAND.
proportionnelle que la loi de 18 io avait réservé en partie pour ces divers objets. Il ne lui est pas resté
-de fonds spécial mais nous devons espérer des circon-
stances plus favorables, et il importe de préparer les élémens de toutes les améliorations qui pourront successivement se réaliser.
L'un des objets qui doivent particulièrement nous occuper serait d'entreprendre des recherches, dans le but de déterminer et d'indiquer les localités qui, à la
réunion de grandes forces motrices naturelles, joignant tous les élérnens de la production du fer, se trouveraient éminemment propres à l'établissement d'usines pour la fabrication de' ce métal. Ces renseignemens seraient précieux pour l'industrie ; ils pourraient contribuer à son développement dans des contrées qui ne sont négligées que parce qu'on ne connaît pas bien les ressources qu'elles présentent.
Je désire, monsieur, que vous fassiez une étude
préparatoire de ces projets d'établissemens pour les départemens qui vous sont confiés. Je vous invite à vous y livrer et à m'indiquer les sommes qu'il vous paraîtrait nécessaire de consacrer en recherches et en essais. MM. les ingénieurs trouveront ici une nouvelle occasion de manifester le zèle dont ils sont animés. Un compte
doit être annuellement rendu aux chambres d'après
la loi du 23 avril 1832, des divers travaux dont ils seront
occupés; le tableau de leurs services témoignera à la fois de leur dévouement et des heureux résultats d'une coopération aussi éclairée.
Je vous prie de m'accuser réception de cette lettre ; je n'ai pas besoin d'ajouter que les propositions de MM. les ingénieurs ordinaires devront me parvenir, suivant l'usa-e, par l'intermédiaire de MM. les ingéMeurs en chef, qui auront soin de communiquer à
Paris, le 22 janvier 1834.
Monsieur le préfet, parmi les directions diverses que Recherches pour prend le mouvement industriel qui se manifeste en reconnaître les les entreprises métallurgiques et notamment France , °,;,`,Iti,iriaéis ou l o la fabricat ion du fer , occupent une place importante. pourrait établir 1
Dans les contrées qui , par une réunion de circonstances avec P succès des favorables, présentaient des conditions de réussite , des usines à fer. usines se sont élevées , et l'on est fondé à croire que des établissemens du même genre se formeraient dans des localités qui présenteraient les mêmes avantages. Il m'a paru que l'administration dont le de-Voir est de
seconder ce développement, entreprendrait une chose utile en faisant rechercher quelles sont les localités nouvelles qui joignent à de grandes forces motrices naturelles les élémens de la production do fer. Ces indications, portées à la connaissance du public, fourniraient à l'industrie de précieux renseignemens qu'il ne lui est pas toujours facile de se procurer , et lui donneraient une nouvelle impulsion.
J'ai invité MM. les ingénieurs des mines à faire à ce
sujet un examen préparatoire pour les départemens
dont ils sont chargés. J'ai l'honneur de vous communiquer la circulaire que je leur ai adressée à ce sujet. Votre sollicitude éclairée saisira avec empressement
l'occasion de seconder des vues aussi utiles et d'en
assurer le succès. MAI. les ingénieurs , en même temps
qu'ils me rendront compte du résultat de leurs recherches , auront soin de vous en entretenir. Je recevrai avec
un grand intérêt toutes les observations particulières que vous voudrez bien m'adresses' sur cet objet im-
portant. Je vous prie, monsieur le préfet , de m'accuser, ré-