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SUR LES SOUPAPES
orn,2450, minée par le calcul, était de résultat peu différent de celui donné par l'expé,-
rience.
Je pense donc que des soupapes qui ne repo-
seraient sur le boisseau qui les supporte que de orn,0005 au plus offriraient un contact presqu'aussi parfait que celui qu'exige la théorie (1). Ces soupapes, dont l'Administration sera peutêtre obligée de prescrire l'emploi pour que les
DE SURETÉ.
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La soupape dont je viens de faire mention et que je devais mettre en expérience sur une chaudière d'une des machines des ateliers de MM. Hallette et Tournelle, lorsque M. l'inspecteur divisionnaire des mines, Baillet , fit, en juillet 183o, son inspection dans le département du Pas-de-Calais ,:.remplace, depuis trois rnois, l'ancienne soupape que représentent lesfig. 5 et 4, et n'a offert jusqu'à présent aucun inconvénient.
ordonnances royales des 29 octobre 1823 et 7 mai
ainsi que les instructions ministérielles qui s'y rapportent , n'éprouvent aucune modification , présenteraient encore l'avantage de prévenir toute espèce de crainte relativement 1828
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,
aux effets que M. Clément a signalés, et que sont
susceptibles de faire naître des rebords plats d'une certaine étendue.
(1) Depuis long-temps plusieurs fabricans de Paris font des soupapes de sûreté , dont les anneaux ou les surfaces de contact ont de très petites largeurs. Lorsque ces anneaux ont une grande largeur, et que les soupapes ne sont pas parfaitement rodées , celles-ci, quoique chargées des poids que donne le calcul, se soulèvent néanmoins avant que la vapeur soit parvenue à la tension correspondante au nombre d'atmosphères qu'indique le
numéro du timbre dont la chaudière est marquée. Cet effet diminue à mesure que les soupapes sont mieux rodées , et il devient presque nul si, les soupapes étant bien travaillées, leurs anneaux ou sui faces de contact ont de très petites largeurs. Comme les surcharges des
soupapes de setreté sont défendues , et -comme souvent on a be oin d'employer la vapeur à toute la tension _pour la-
quelle une machine a été construite, on trouvera donc un avantage à faire usage de .soupapes dont les anneaux, auront des largeurs aussi petites que possible,. ( ;Vote du Rédacteur. ).
Explication des figures de la Planche III. Fig. Ire. Coupe, suivant la ligne g, p de la fig. 2 du boisseau cylindrique de fonte in, in , dans lequel se place la soupape de sûreté d. Cette soupape est vue, dans ce boisseau, suivant une projection verticale. x, x, épaisseur du cylindre creux faisant partie de la sçmpape d.
xp, xp, ouvertures rectangulaires pratiquées dans le cylindre de cette soupape pour le passage de la vapeur. o,o, surface conoïde, ayant pour base la plateforme de la soupape d. Fig. u. Coupe du boisseau de fonte ra,m , suivant la ligne a, b de la fig. et projection de la soupape qu'il renferme. Fig. 3 et 4. Plan et coupe représentant les sou-
papes que l'on adapte généralement aux chaudières des machines à vapeur à moyenne et à haute pression.