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DE SUBSTANCES MINERALES.
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ANALYSES
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résidu qu'on a reconnu contenir un peu d'oxide de fer et un peu d'oxide d'argent provenant du. creuset. La liqueur alcaline a été saturée d'acide muriatique et évaporée, puis on a repris
Fer nzéle'orique d'Afrique. ( Annales de
Chimie, I. XIII, p. m.) Une partie de la masse de fer météorique
par l'eau, il est resté de la silice pure ; on a
ajouté du sous-carbonate de potasse à la dissolution, s'en est précipité une terre gélatineuse
que le capitaine Barrow avait trouvée au sud de l'Afrique, à zoo milles du cap de Bonne-Espérance, était passée dans les mains de M. Sower-
-et banche , qui a donné de l'alun avec l'acide sulfurique et la potasse, et qui avait tous les ca-
by,, qui vient d'en faire faire une lame d'épée de 2 pieds et demi de longueur. Cette lame a acquis par la trempe une très - grande élasti-
ractères de l'alumine. La substance floconneuse, d'un brun rouge-, a été traitée par la potasse caustique liquide ; la liqueur est devenue d'un brun foncé , et a laissé
cité : elle appartient maintenant à l'empereur de Bussie. Suivant l'analyse de M. Tennant , le fer dé-
un résidu d'un brun noirâtre. Cette liqueur
couvert par M. Barrow contient Io pour ioo
ayant été saturée d'acide muriatique , il s'en est précipité une matière combustible qu'on a jugé être une modification du tannin, et la liqueur
de nickel.
décolorée, ne contenait plus rien. Le résidu brun a donné par l'acide muriatique de l'oxide de fer et un peu de silice. La dissolution nitro-muriatique de l'acier ne
Analyse du ,vvootz, ou acier de l'Inde; par M. Faraday, pre'parateur de chimie à l'Institution royale. (journal de l'Institution royale, t. YIJ,p. 288.)
contenait que du fer. On n'a pas cherché à en dé-
terminer la proportion , non plus que celle du carbone. Une analyse du vvootz , faite sur 460 grains, a donné 0,00065 de silice et 0,0015 d'alumine. L'analyse d'un autre échantillon, faite sur 625 grains, n'a pas donné un atome de silice et n'a fourni que 0,00024 d'alumine. Les meilleurs aciers anglais ayant été examinés par les mêmes procédés, on n'y a pas découvert la moindre trace de substances terreuses.
Les échantillons de vvootz qui ont été analysés , ont été pris au centre d'un culot qui avait été remis à M. Stodart par le sir Joseph Banks. On les a traités par l'eau. régale à l'aide de la chaleur, il est resté une substance floconneuse noire que l'acide a refusé d'attaquer : cette substance, ayant été bien lavée , se partagea en deux autres, l'une pulvérulente et noire, qui se préci-
pita au fond du vase ; l'autre floconneuse et d'un brun rouge, qui resta pendant quelque temps en suspension dans l'eau.
La substance noire a été fondue au creuset d'argent avec de la potasse caustique; on a dé-
layé dans l'eau et décanté, il y a eu un petit,
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