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8TJLES4M Lait faire ,à M. Musseaù pourtfarvailler 425
aciers polis :(3.). De l'élasti-'
cité.
-
,
POU" reconnaître le degré d'élasticité (2) de la lame de Degrand:elle a' été piquée sut:- une planche en la tenant:tan 1)én:inclinée.; et on l'a -courpoussée légèrement ..d pait; gradatioh successivement bure s'est faite également et
dans toutela hauteur de la lame
hin et
l'autre , côté , jusqu'à ce' qu'elle- aife.donné un arc dont la flèche fût, égale 'Y la Moitié de sa longueur. Après cet essai; répété pluSieurs fois, la lame est redevenne.lparfattement droit, et n'a présenté aucun indice de rupture.
L'épreuve du billot a été faite deux fois, et n'a découvert aucun autre défaut que la seule -petite gerçure superfidelle 'dont il a déjà-eté Du damassé.
fait mention. Lé, damassé de, la lame de M. Degrand est 1°. Dans le pan creux, une espèce de moiré où de dessin à lignes fines contournées. et pa-
DAMASdES.
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'allèles, formant des figures irrégulières et trèsvariées, se confondant entre elles ou entre de plus grandes lignes sinueuses et rubanées qui " les enveloppent; 2°. Dans le dos on n'aperçoit que de légères lignes longues, fines et parallèles, sans damassé sensible; 3°. Enfin, le chanfrein ,ou biseau est rubané et également composé de lignes longues, fines .et ondulées, qui vont quelquefois se =perdre dans les dessins du bord du pan creux (1).
Pour déterminer le degré du son, on 's'est
servi : dela lame damassée que M.Degrand avait exposée au Louvre; 2°. d'une belleulame
de Klingenthal; 30. d'une lame ërientaleî'dite. d'ancienne fizbrique ; 4°. d'une 'autre- li-nne orientale rapportée d'Egypte; -50. d'un-briquet d'infanterie à lame évidée; 6°. d'un autre briquet à lame plate ; 7°. d'une lame de grosse cavalerie à une gouttière; 8°. enfin, d'une lame de cavalerie légère à une gouttière. Toutes ces lames, démontées et entièrement nues, ont été fortement piquées ou plantées par leur soie à 25 centimètres de distance les -
Les commissaires ayarit'à. leur disposition un tronc,on de damas portant plusienrelignes de caraCtères orientaux , ils n'ont trouvé aucunalime, aucun burin, enfin aucun instrument d'acier capable, de Pentarner. Toutes les limes ont.blanchi deaSus, et les burins se sont émoussés; on n'a pu essayer sa dureté qu'aveC un éclat de'sileX PYrornaque nOiri,.-4nais de maniéré à;ne pouvoir déterminer exactement son degré de dureté comparativement -avec celle d'autres lames. L'élasticité ne paraît point être un caractère essentiel des vrais damas orientaux. Les commissaires en ont essayé plusieurs qui étaient à peine élastignes , et ils en ont même trouvé un, entre autrea-, qui ne l'était nullement, mais dont la trempe etait supérieure à celle de toutes les autres lames soumises aux essais.
(I) M. Degrand-Gurgey ne s'est pas attaché au damas,, quinage des armes blanches seulement; il a fait beaucoup de recherches à cet égard , et il est parvenu à des résultats d'un intérêt d'autant plus grand , qu'ils pourront avoir un jour de nouvelles applications dans la fabrication des-aciers ; ainsi , les commissaires ont vu , entre autres objets de ses ateliers , un médaillon d'acier damassé ovale, de 34 millimètres de diamètre sur 28, avec l'effigie de Sa Majesté composée de pièces d'abord distinctes ou séparées, et ensuite parfaitement assemblées, réunies et fondues dans_ la damassé du médaillon,.
Du son.