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CIRCULAIRES.
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PERSONNEL. RÉPÉTITION DES SIGNAUX SUR LES LOCOMOTIVES.
Le ministre des travaux publics, des postes et des télégraphes, à Messieurs les administrateurs de la compagnie d
chemin ADMINISTRATION CENTRALE.
de fer d Paris, le 21 mars 1911. Les expériences qui se poursuivent depuis plusieurs années déjà, en vue de déterminer un système satisfaisant pour la répétition, sur les locomotives, des indications fournies par les signaux de la voie, ont déjà donné des résultats très importants. Si, jusqu'à présentées appareils essayés n'ont pas fonctionné d'une façon parfaite, en toute saison et sous tous les climats, il est possible de distinguer ceux qui, moyennant quelques perfectionnements complémentaires, peuvent être adoptés pour le service courant et ceux qui doivent être écartés. D'ailleurs, alors même que certains appareils, satisfaisants dans leur ensemble, présenteraient encore quelques chances de ratés, leur emploi est de nature à constituer un progrès considérable, s'ils comportent (ce qui paraît nécessaire) un dispositif permettant d'enregistrer les signaux fermés que les mécaniciens auraient franchis sans les voir et si, par conséquent, ils ne tendent pas à diminuer la vigilance que doivent apporter ces mécaniciens à la surveillance de la voie. Le moment paraît donc venu de commencer à appliquer la répétition des signaux sur les machines des trains rapides qui circulent sur les lignes à forte fréquentation. Je vous demanderai, en conséquence, de choisir le ou les appareils répétiteurs et enregistreurs munis du dispositif rappelé plus haut qui vous paraîtront devoir être adoptés sur votre réseau et de me soumettre un programme comportant la mise en service de ces appareils sur certaines lignes de ce réseau pour l'hiver prochain. J'attacherais du prix à ce que vous me fissiez parvenir vos propositions à ce sujet le plus promptement possible, en précisant les lignes que vous vous proposez d'armer sans délai. Charles DUMONT.
Décret du 6 mars 1911. — M. Mahieu (Albert-Arthur), ingénieur en chef des ponts et chaussées de 2e classe, est nommé directeur du personnel et de la comptabilité au ministère des travaux publics, en remplacement de M. Claveille, nommé directeur des chemins de fer de l'Etat.
I. — Ingénieurs.
CONGÉS.
Arrêté du 11 mars 1911. — M. Henry-Gréard, ingénieur ordinaire de 2e classe, à Arras, a été mis, sur sa demande, en congé, hors cadres, à dater du 1er mai 1911, pour entrer au service central de l'exploitation de la compagnie du chemin de fer d'Orléans. Décision du 13 mars. — Un congé d'un mois, à dater du 16 mars est accordé, avec traitement entier, à M. Bernheim, ingénieur en chef, à Paris, chargé du service du contrôle de l'exploitation technique du réseau du Nord. 1911,
Un congé de deux mois, à dater du 21 avril 1911, est accordé, avec traitement entier, à M. Mettrier, ingénieur en chef, à Douai. La marche du service (arrondissement minéralogique de Douai et école des maîtres mineurs) sera assurée, en l'absence de M. Mettrier, par M. Defline, ingénieur ordinaire des mines à Valenciennes. (J; off., 30 mars 1911.)