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308 NOMS
NOMS
SES
DE CHEFS-LIEUX DES DÉPARTEMENTS
en
DÉPARTEMENTS
ET D'ARRONDISSEMENTS
TEMPS
CHEMINS DE FER. — RECRUTEMENT DES MÉCANICIENS ET DES CHAUFFEURS.
A Vendée (suite).
Fontenay-le-Comte (clocher Notre-Dame). . Les Sables-d'Olonne (clocher) Poitiers (clocher de Saint-Porchaire) .... \Chàtellerault (clocher de Saint-Jacques). . . .(Civray (clocher) /Loudun (clocher de Saint-Pierre) Ulontmorillon (clocher du séminaire) (Limoges (Saint-Michel) JBellac (brasserie) "jRochechouart (clocher) I Saint-Y'rieix (clocher) Epinal (clocher de l'hôpital) Mirecourt (clocher) Neufchâteau (Saint-Nicolas) Remiremont (clocher) Saint-Dié (clocher de Saint-Martin) C Auxerre (clocher de la cathédrale) (.Avallon (clocher) .jJoigny (clocher de Saint-Jean) /Sens (tour de la cathédrale) i Tonnerre (clocher de Saint-Pierre) I
Vienne ....
Vienne (Haute-) .
i
Yonne.
31.7 29.8 59,4 10,7 09,7 01.1 53.6 19.2 09.3 03.9 32,3 26.1 11.7 26.9 01.2 27,1 56,7 17,1 14,9 47.3 32.4
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 E E E E E E E E E E
Algérie.
Alger
Constantine.
Oran.
i
Alger (phare) Alger (nouvel observatoire) Medéa (hôpital militaire) Miliana (hôpital militaire) Orléansville (clocher de l'hôpital militaire) . . Tizi-Ouzou Constantine (hôpitai civil) Batna (clocher) Bône (pilier astronomique) Bougie (église) Guelma (mosquée) Philippeville (phare) , Sétif (clocher) Oran (marabout) Mascara (minaret) Mostaganem (clocher) Sidi-bei-Abbès (télégraphe) Tlemcen
ii I
309
CIRCULAIRES.
CIRCULAIRES.
36,1 E 47.6 E 39.3E 26,8 0 00,9 0 s 07.8 E 22,1 E 41.7 E 00,1 E 22'3 E 12.3 E 17.4 E 01,4 0 46.4 0 58.9 0 52.5 0
ytf. , Inspecteur général des , chargé de la direction du Contrôle de l'exploitation du réseau d chemin de fer d Paris, le 4 août 1891.
Monsieur l'Inspecteur général, aux termes de l'article 74 de l'ordonnance du 15 novembre 1846 (*) : « Nul ne peut être employé en qualité de mécanicien conducteur de train, s'il ne produit des certificats de capacité délivrés dans les formes qui seront déterminés par le Ministre des travaux publics. » Cet article confère explicitement au Ministre des travaux publics le droit de réglementer les conditions de recrutement des mécaniciens et des chauffeurs. Un bon choix de ce personnel, sous le rapport de la capacité et des connaissances pratiques, est une des garanties principales de la sécurité dans l'exploitation des chemins de fer, et, dès longtemps, l'attention de l'administration se trouvait appelée sur l'utilité d'uniformiser les règles auxquelles est soumis le recrutement de ces agents sur les divers réseaux. La commission instituée en 1857 pour étudier « les moyens de garantir la régularité et la sûreté de l'exploitation sur les chemins de fer » s'en était préoccupée: le questionnaire adressé par elle aux compagnies contenait la question suivante : « Comment les mécaniciens sont-ils nommés? Quelles conditions exige-t-on pour leur admission? » Toutefois, ni la commission d'enquête de 1857, ni les commissions analogues qui furent instituées ultérieurement, ne proposèrent au Ministre d'user du pouvoir de réglementation que lui conférait l'article 74 de l'ordonnance de 1846. Il avait paru plus rationnel de réglementer, d'uniformiser le langage des signaux auxquels les mécaniciens et les chauffeurs doivent obéir, avant d'uniformiser les règles du recrutement de ces agents. Mais aujourd'hui l'uniformisation des signaux est un fait accompli : l'arrêté ministériel du 15 novembre 1885 (**) a rendu obligatoire, sur tous les réseaux, un Code des signaux échangés entre les agents des trains et les agents de la voie ou des gares, et des décisions ministérielles ont déter(*) Annales des mines, 2° volume de 18-46, p. 831. ("*) Volume de 1885, p. 293.