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PERSONNEL.
M. Dougados est chargé, à la résidence de Rive-de-Gier, du service du sous-arrondissement minéralogique de Rive-de-Gier (nou-
LOIS, DÉCRETS ET ARRÊTÉS
velle organisation) et du 3e arrondissement de la 2e section du service du contrôle de l'exploitation des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. M. Laurans est chargé du sous-arrondissement minéralogique de
CONCERNANT
LES
Vesoul et du 2e arrondissement (2e section) du service du contrôle
MINES,
CARRIÈRES,
CHEMINS
DE
FER
SOURCES EN
1)'EADX
EXPLOITATION,
MINÉRALES, ETC.
de l'exploitation des chemins de fer de l'Est, en remplacement de M. Poincaré, précédemment mis en service détaché. 5o août. — M. Rigaud, ingénieur ordinaire de 2e classe, actuellement chargé du service du sous-arrondissement minéralogique de Dijon, est attaché au service du sous-arrondissement minéralogique de Paris et au service des carrières du département de la Seine, en remplacement de M. Keller, appelé à d'autres fonctions.
Décision ministérielle, du 26 août 1879, prescrivant l'ouverture d'une enquête relative aux moyens de prévenir les collisions sur les chemins de fer à voie unique. A
M. G. DE NERVILLE,
inspecteur général des mines, président du comiié de l'exploitation technique des chemins de fer.
Paris, le 26 août 1879. Monsieur le président, l'opinion publique s'est vivement émue de la collision de trains survenue, le i5 de ce mois, sur la voie
ÉCOLE
NATIONALE DES
MINES.
unique, entre Fiers et Monsecret. Cette émotion s'est traduite par la voie de la presse, et divers journaux ont réclamé l'intervention énergique du Gouvernement auprès des compagnies de chemins de fer, afin que des mesures soient prises pour prévenir le retour
ÉLÈVES EXTERNES.
de semblables accidents. En présence d'un événement aussi douloureux, on ne comprendrait pas en effet que l'administration supérieure n'usât pas de tous les moyens en son pouvoir pour obliger les compagnies à gé-
Liste, par ordre de mérite, des élèves auxquels des diplômes ont été délivrés, par décision ministérielle du 24 juillet 1880, à la suite des examens de sortie de 1880. MM. 1. Levât. 2. Saladin. 3. Ferrant. i. Garen. 5. Rodary. 6. Keller. 7. Lévy. 8. Grammasson. 9. Poulaine. 10. Gounot.
M. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19.
MM. Jacques. Prenat. Bel. Le Bris. Pralon. Combes. Chaumond. Bidermann. Roux.
néraliser l'emploi des procédés dont elles ont fait elles-mêmes l'expérience et dont l'efficacité ne peut être aujourd'hui l'objet d'aucun doute pour personne. L'Angleterre et l'Allemagne nous ont précédés dans cette voie et nous ne pouvons que les y suivre. C'est sous la pression de l'opinion publique, dont le Parlement s'est fait en plusieurs occasions l'interprète et que le « Bord of Trade » a puissamment secondée, que les compagnies anglaises se sont décidées a étendre à la plus grande partie de leurs réseaux l'application de 1' « Interlocking » et du « Block System » ; tout annonce qu'il en sera de même pour l'emploi des freins continus. En Allemagne, le « Block System » a été rendu obligatoire par un règlement de police, en date du 29 décembre 1871. L'administration française, du reste, n'est pas demeurée inactive. Une dépêche ministérielle du a5 mars 1876 (*) a appelé l'at-
VÉditeur-Gérant,
DUNOD.
— Paris, imp.
Arnous de Rivière, rue Racine,
(*) Infrà, p. 358. DÉCRETS,
1880. — 5e livraison.
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