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dislocation postérieurement au premier désordre furent les caractères particuliers de cette explosion, d'où résulta la complexité déconcertante des phénomènes. Sur la causée même de l'effondrement du ciel, la lumière n'a pas été faite. Le type de construction consistant, pour un foyer de ces dimensions, à conserver le
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système des fermes, mais à suspendre chacune de cellesci au berceau par deux tirants, n'est pas sans soulever quelques questions délicates, relatives notamment au réglage de longueur de ces tirants. Nous préférons, pour notre part, la solution franche que l'on a maintenant adoptée pour les grands foyers et qui consiste à relier directement le ciel de foyer au ciel d'enveloppe par un réseau serré de tirants-entre toises. Néanmoins, dans
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l'espèce, aucune constatation n'a permis de conclure à une faiblesse particulière de la suspension. Quant à l'intervention d'un excès de pression, c'est une hypothèse que les circonstances ne rendent pas invraisemblable, mais qui reste une hypothèse. Ce qui doit être surtout retenu comme instructif, c'est la méthode employée par M. Robert Dubois pour préciser les faits. Ce n'est pas la première fois, tant s'en faut, que, dans l'étude d'une explosion, on raisonne sur les déformations subies par les pièces et sur les directions prises par les débris ; mais trop souvent les observations n'ont qu'une précision insuffisante, les identifications de marques ne sont ni assez sûres ni assez nombreuses et, dans ces conditions, on risque parfois de se trouver induit en erreur au lieu d'être éclairé. L'exemple des constatations faites sur la locomotive 626 montre tout le parti que l'on peut au contraire tirer d'une investigation de ce genre, pourvu qu'elle soit tout à fait approfondie etcons.ciencieuse, conduite sans idée préconçue et logiquement interprétée. Quant à la question générale de l'altération éventuelle des tôles des chaudières à vapeur par la multiple répétition des efforts alternatifs auxquels ces tôles sont soumises au cours de leur carrière, question sur laquelle ont principalement porté les observations de M. Le Châtelier, c'est peut-être la plus délicate de toutes celles que soulève actuellement la technique des appareils à vapeur. M. Le Châtelier souhaite qu'une expérimentation intervienne pour l'élucider : on ne peut que s'associer à ce vœu. Le cas particulier de l'accident de la gare SaintLazare no fournit d'ailleurs pas sur ce sujet des données suffisantes pour qu'il y ait lieu de s'y appesantir en ce moment : nous aurons l'occasion d'y revenir avec plus d'ampleur dans la suite.de ces études.