Annales des Mines (1902, série 10, volume 1) [Image 33]

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RECHERCHES SUR L'ÉCOULEMENT DE LA VAPEUR D'EAU

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PAR LES TUYÈRES Par M. A. RATEAU, Ingénieur au Corps des Mines.

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Dans cette courte note, je nie propose d'analyser le phénomène de l'écoulement de l'eau chaude par une tuyère convergente et d'expliquer les résultats, assez singuliers au premier abord, obtenus par MM. Sauvage et Pulin dans les expériences qu'ils ont faites, en 1892 (*). La théorie que j'ai développée dans le travail précédent a propos de l'écoulement de la vapeur s'étend sans difficulté au problème un peu plus complexe de l'eau chaude, qui se vaporise partiellement pendant la détente. Le cas le plus simple, que je traiterai d'abord, est celui où on suppose que l'eau se trouve initialement, dans le récipient d'amont, exactement à la température T0 de la vapeur qui correspond à sa pressionP 0 , c'est-à-dire juste sur le point de se vaporiser. Dès lors, elle se vaporisera effectivement en partie dès que sa pression et sa température s'abaisseront. Une circonstance remarquable donne au phénomène une allure très spéciale. Cette circonstance est que la quantité vaporisée, d'une part, et la vitesse d'écoulement (*) Ed. SAUVAGE, Ecoulement de l'eau des chaudières (Annales des Mines, 9° série, t. II, p. 192).