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BULLETIN.
moins gros que des oeufs de poule; la quantité passée en vingtquatre heures est de 1',5 à 2 tonnes. On charge d'abord 90 kilogrammes de minerai, avec un peu d'eau; un quart d'heure après, on en rajoute 180 à 230 kilogrammes; quand la masse est réduite en boue assez fine, on y jette une ou deux onces de mercure. On fait de temps en temps une prise d'essai avec une cuiller en corne, on lave, et si l'on aperçoit un peu d'ot,: libre, on rajoute du mercure. Au bout de quatre à cinq heures, on délaye le résidu avec de l'eau et on procède au déchargement de l'appareil. On met généralement 1 once à 1 once 1/2 de mercure pour 1 once d'or. L'amalgame se dépose dans les crevasses du fond de la cuve, mais on perd souvent une grande quantité de mercure mise en excès.
(Extrait par M. DANIEL BELLET, rédacteur au Ministère
des travaux publics, des publications du Bureau des Républiques américaines, des Noticias geograficas de la Republica de Nicaragua , par D. GAMEZ , et d'un rapport de M. NEWELL , Consul des États-Unis au Nicaragua.)
VAPORISATION DANS LES CHAUDIÈRES
DE LOCOMOTIVES. I t9
ÉTUDE EXPÉRIMENTALE
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DE LA
VAPORISATION DANS LES CHAUDIÈRES DE LOCOMOTIVES FAITE
DANS LES ATELIERS DU CHEMIN DE FER DE PARIS A LY ET A LA MÉDITERRANÉE
Sous la direction de M. A. HENRY, Ingénieur en chef des Miu,k3., Ingénieur en chef du Matériel et de la Traction de la Compagnie P.-L.-M. "*.ei
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L'étude que publient les Anales des Mines a été faite
de 1885 à 1890 dans les ateliers du chemin de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée sur l'initiative et sous la haute direction de M. A. Henry, Ingénieur en chef du Matériel
et de la Traction, qui en a tracé tout le programme. Le détail des expériences et le calcul des résultats ont été réglés par M. E. Chabal, alors Ingénieur principal du Matériel. Les expériences ont été organisées et commencées par MM. Foucher, contrôleur, et Trudon , sousinspecteur, continuées par M. Trudon seul et terminées par M. Mottet , sous-inspecteur; les analyses
ont été
faites par MM. Mercier et Spiral, chef et sous-chef du laboratoire.
Les expériences et analyses étaient
terminées et M. Henry, qui en avait déjà partiellement communiqué les résultats au Congrès des chemins de fer de 1889, se Tome VI, 80 livraison, 1894.
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