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REVUE DE GÉOLOGIE.
ROC FIES
ote o
o
a ,u
e
A
7>
3,68 9,04 3,01
71,97 12.47
2 53 76,58 77,67
8,91
D 2,53 78,35 12,61
10 2,60 83,33 2,52 85,07 10,51
5,67 1,80 99 3,48
tri
trace
0,26 8,52 trace 1,97 0,80 6,09 3,77 trace 0,56 0,25 non dosés trace » » 0,16 7,12 I trace trace » 0,25 non dosés » non dosés 0,20 » »
1
g
99,02
0,23
0,90 100,97
0,18
0,95
0,60 101,89 0,72 0,49 0,68
0,20
I
M. Laufer fait observer que ces porphyres d'llmenau ne contiennent pas d'oxyde de titane, bien qu'il y en ait souvent dans les porphyrites de la même région. D'un autre côté, quoique la baryte sulfatée soit fréquente dans les filons qui les traversent, ils ne renferment pas de baryte. PREDAzzo.- Deux porphyres rouges, orthosés, des environs de Predazzo, ont été analysés par M. C. de Hauer (1). L'un A vient de Cornon, l'autre B de Canzacoli. Si02
A\ 70,09 B
64,45
Al20,
Fe203
CaO
4,02 6,49
0,57
16,31
lm
i
MgO
K(1
0,41
0,82 5,45
0,30
Na()
2,94 5,00
Perte
SOMM O.
0,61
100,01
au
feu.
0,82
99,92
577 quartzifères de la région, dont les galets se trouvent dans les conglomérats de la base du culm à Quimper et au Huelgoat. D'après MM. Michel Lévy et Douvi lié, rien ne seraitdonc plus naturel que l'attribution du kersanton aux porphyres de la série anthracifere.
Le nom de kinzigite a été donné à une roche feldspathique gneissique contenant du graphite ainsi que du grenat, qui est as-
sociée aux schistes cristallins du bassin de la Kinzig, dans le nord de la forêt Noire. M. C. He b ens trei t (I), qui en a fait l'étude, a constaté qu'elle est intercalée dans le gneiss grenatifère et amph bolique, près de Wittichen. Elle a environ o',5o d'épaisseur et sa structure est grossièrement schisteuse. On distingue facilement dans la Kinzigite de Panorthose (oligoclase), du mica noir, du grenat almandin violet et du graphite. Sous le microscope, on re-
connaît en outre de l'apatite dans le feldspath, ainsi que de la pyrite et du fer oligiste. En faisant l'analyse de l'oligoclase (I), du grenat (II) et de la roche elle même (III), M. Hebenstreit a obtenu les résultats suivants É
0
ote
o
(-D
Roches plutoniques anorthosées. Kersanton. MM. Michel Lévy et D ouvillé (2) ont reconnu que le kersanton de Bretagne, déjà étudié par MM. D el esse et Zirk el, offre, à la lumière polarisée, une texture de micro-pegmatite assez bien caractérisée; cette roche contient d'ailleurs du quartz : aussi ces auteurs la considèrent-ils comme une roche de la série clos porphyres granitoïdes ou des porphyres noirs quartzifères, que sa très_ grande richesse en mica a rendue basique.
MM. Michel Lévy et Douvillé (3) trouvent une confirmation sérieuse de leur manière de voir dans les études stratigraphiques
de M. Barrois (A). En effet, M. Barrois a fait voir que le kersanton, jusqu'alors réputé silurien, était postérieur à tout le dévonien de la rade de Brest et qu'il se liait intimement aux porphyres (1)Jahresbericht d. Chende fur 1875, p. 1270. Bull. Soc. géol. [3], V, 51. Bull. Soc. géol. [3], V, 348. Ana. Soc. géol. du Nord, IX, 59.
2.657 62,90 22,23 trace » 4,45 3,960 37,40 21,08 2,01 28,49 3,05 ,22 2,09 8,48 3,000 44,53 17,55 3,38 12,60 3,36 5,68 3,54 3,60
Q
a 100,15
100,25 ,17 0,29 1,33 100,69
On voit que la kinzigite est remarquablement pauvre en silice. Elle peut être considérée comme un gneiss très--dégradé, dans lequel le quartz et l'orthose ont disparu, tandis que l'oligoclase et le mica devenus dominants sont en outre accompagnés de grenat et de graphite. Elle provient sans doute du métamorphisme d'une argilite charbonneuse qui contenait de la magnésie et de l'oxyde de fer. Dionite. Cor,NouAILLEs.- Les diorites (greenstones) de l'ouest du Cor-, nouailles, ont été étudiées de nouveau par M. J. A. Phi 1 lip s (2); elles sont associées au killas de l'ouest du Cornouailles, dont l'analyse a été donnée précédemment, à la description des roches schisteuses. Neues Jahrb., 1877, 417. Revue de géologie, X, 71. - Quat. Jour. geol. Soc. Mai 1876.
Tom XIII, 1878.
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