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SUR LA MINE .IYE PLOMBS etc. 168 au pied de, la colline du côté de l'Ouest, à peu, près à 2.5 Mètres au-dessous des travaux superficiels. Aussitôt .que
la-galerie aurait été approfondie de 6o ou 8o mètres , oit la joindrait par un puits placé sur le haut de la colline.
JOURNAL DES MINES.
Quant aux ouvrages subséqueris ils dépendraient naturellement du résultat des premières tentatives et de la nature plus ou moins solide du rocher. Il faudrait en outre se mettre én mesure de découvrir la tête de la couche dans toute l'éten-
N°. 165. SEPTEMBRE 1810.
due de son promngement présumé. A cet effet on creuserait un nombre suffisant de tranchées , soit transversales soit longitudinales ; on les placerait 'à 4o ou 5o métres environ les unes des autres.
NOTICE GÉOLOGIQUE
Conclusions.
On peut 'regarder !a mine de plomb de Brassac comme absolument vierge elle n'a encore été l'objet d'aucune concession ni d'aurcuti travail d'exploitation proprement dit. Le minerai y est disposé en amas on stockwerck , au mi-
lieu (rime couche de roche calcaire très-étendue et parlaitenient encaissée. Quelques travaux superficiels et très-mal conduits , ont cep' endant donné du bém.'.fice.
On peut-donc en toute assurance hasarder des recherches sur cette mine , avec la plus grande probabilité de trouver assez dé minerai pour couvrir les frais que les travaux pour ront occasionner. J'estime qu'un fonds de 6000 francs suffirait pour exécuter toutes les recherches qu'il conviendrait de faire avant de former aucun projet d'exploitation.
Fait double pour le Conseil des Mine. s de l'Empire et .e. le Préfet du département du Tarn..
4 Albi, le.. .
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, etc.
SUR la Route du Col de Tende, dans les Alpes nzaritimes , _précédée de Considérations sur les Terrains internzédi aires.
Par J. J. OmALius
J'AI eu l'occasion de passer au Col de Tende dans le cours de l'année 1809, mais ayant dû faire cette traversée très-rapidement, et étant persuadé que cette partie des Alpes avait déjà été décrite , je ne m'écartai point- de la route et je ne pris que quelques notes destinées seulement à me rappeler les principaux objets qui avaient frappé mes regards. Depuis lors j'ai remarqué qu'on n'avait encore rien écrit sur la minéralogie de cette contrée , ou du moins je n'ai pu découvrir aucun ouvrage qui en parlât ; ce qui m'a fait penser que la publication de mes notes , toutes imparfaites qu'elles sont, offrirait peut-être quelques matériaux utiles à la connaissance de la vaste chaîne des Alpes (1). 1.
(1) Cet article était rédigé, lorsque j'ai appris (rué M.Ménard de la Groye , naturaliste connu déjà très-avantageusenient dans les sciences , avait parcouru les Alpes maritimes
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Int,o(Inc. tion,