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TIdORIE DE LA. suftrAcÉ ACTUELLE
tard Sur plusieurs contrées 3 de Patrin sur là Sibérie, etc. 'etc. Le but de l'auteur parait avoir été de réunir tous les faits qui pouvaient servir à établir sa théorie; 11 semble que pour l'atteindre plus courplèlement , au lieu d'extraire separement les
ouvra-ges des géologues , il aurait dû réunir, à l'appui de chaque fait prinCipal , les témoi-
lui gnages de ceux qui l'ont observé ; ce qui des attrait donné lieu de faire»soiivent ressortir tous observations importantes. Saussure est de plus leS géologues , celui qu'il parait avoir le étudié, etilne pouvait suivre un meilleur guide; mais il aurait pu citer un grand nombre d'ouyrages étrangers qui.tenferment des de observations précieusés. A peine y est-il question le flartz , Pallas. On trouve -quelques mots sur la Hongrie, la Saxe, d'après Deluc. Cependant la Boll'étne , la Bavière , là Suède, ont été parcourues et décrites pat des géologues qui sont au moins -des observateurs exacts', et l'auteur n'en parle pas. observateur a consacré Troisième
Partie.
Ce savant et laborieux la troisième Partie de sôn. ouvrage à l'explication - des phénonzènes que présente la surface actuelle de fa terre. Nous allons dherChet à donner une idée de la théorie qu'il a voulu établir. L'auteur pose d'abord une suite de Vincipes
qu'il regarde comine étant une conséquence
nécessaire des faits observés. 1". La surface de, la terre n'a pas toujOtirs été arrangée *comme nous là voyons. 2°. 11 n'y a pas long-tems 'que la surfacé de la terre est arrangée 'comme nous la Voyons,
DE LA. 'TERRE.
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3":. Il a fallu une cause générale, uniforme, violente et prompte pour arranger la surface de la terre comme elle est à présent. 40 Les volcans, les tremblemens de terre, les -
fleuves et les coutans de la mer n'ont pas pli 'arranger la surface de la terre comme elle est à présent. 5°. Notre globe a été côuvert d'eau jusqu'audessus des plus hautes montagnes. 6°. Ce sont ces eaux qui ont changé sa surface en l'arrangeant comme elle est à présent.
7°. Les eaux de la mer y sont intervenues, puisqu'on trouve partout .ses productions en grande abondance.
8°. Ce ne sont pas lès eaux dé lamer dans l'état
de tranquillité Où nous les voyons à présent, 1i:tais dans Une agitation assez 'violente pour en 'ébranler la linkse 'entière juequ'att fond de ses bassins, et pobr en 'attacher les matières qui -y
reposaient.
go. Nous -ne counaissons aucun agent naturel dan S l'Ordre actuel des 'évérietnens, tjui ait pu imptimet aux eaux une impulsion :assez forte pour opérer de si grands effets. 100. Il a fallu pour cela une alternative d'altzite sËete dont raction ait été inoluvions , difiée par une foule de eittoustaikes locales. On YO'itritl'è [01.4S ces principes se réduisent à
admettre une grande révolutiot aqueuse peu ancienne bu pour employer l'eDtpression de
l'auteur qui lui-même Pa truprulitée, eine grande débdele. Sans vouloir- àttirquer ces principes uscep_
tihlesi nidins de quelques modifications, -on peut être ëtouné que l'auteur ait cherché à tout Ff4