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OPhIATIONS QUI S'BX1CTJTETT
père , fit connaître la situation de l'établissement de Poullaouen, on ajoutait dans les fontes des ochres oritères ext aits à Ituelgoét , des terres de monnaies, et des matières cuivreuses obtequi étaient apportées de Ba'igori (1). On manche, nait alors dans la fonte au fourneau à une assez grande quantité de mattes qui étaient grillées et traitées ensuite pour en extraire du. cuivre. Cette addition au travail de la fonderie seulement n'a plus lieu aujourd'hui. Il arrive de que l'on recueille au fond du bassin l'avantfoyer, , après la percée, et à la surface du grand.
bassin de réception, au moment du moulage, une matière noire plus riche que les scories, et que l'on repasse dans le fourneau. Le moulage da plomb s'opère comme ail fourneau à réverbère ; niais le métal qu'orrobtient est moins pur et moins fluide, inconvénient qu'on peut éviter en partie en le brassant avec de la résine enflammée. (Voyez le travail du fourneau à réverbère ). L'oeuvre qui provient de cette fonte, donne à l'affinage une quantité d'écumages beaucoup plus considérable que celui recueilli au fourneau à réverbère , et cela tellement, qu'on s'est quelquefois à part sur une couvu forcé de le refondrel'écumer avant de le pelle de brasque, pour passer à l'affinage, s'il ne pouvait y être mélangé d'une certaine dose d'oeuvre recueilli au fourneau à rJverbère. les (i ) Les mines de cuivre de Baï..pri sont situées sur dont il est ici questioa frontières d'Espagne. Les matières faisaient presque tout le trajet par mer.
A LA FONDERIE DE FOULLAOTJEN.
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5°. Traitement des litharges pures. Il comprend : La réduction des litharges en plomb marchand au foûrneau à réverbère: La fonte de crasses de litharge au fourneau à manche. Le passage du plomb qui provient de la fonte précédente, sur mie coopelie cl? brasque , au fourneau d'affinage.
Les litharges pures recueillies .à l'affinage sont, si l'on en excepte une légère portion qui est directement débitée dans le commerce , réduites en plomb marchand dans l'un des fourneaux à réverbère , employés au grillage et à la première fonte du minerai. C'est cette opération que les fondeurs appellent la reconversion des litharges. Nous no pouvons fournir aucun détail de manipulation sur le travail qui n'a point été exécuté pendant notre séjour à Poullaorten, et que M. Duhamel père a lui-même décrit brièvement dans le Mémoire qu'il a fait passer au Gouvernement en 1781. Nous nous contenterons de dire que la litharg,e est étendue sur la sole du fourneau, et brassée avec du charbon lorsqu'elle y a acquis mie certaine tem-
pérature; qu'on y projette de la . chaux par intervalles, comme cela .a lieu dans la fonte
du minerai ; qu'on fait de fréquentes coulées, à la suite desquelles on ajouté de nouvelles
matières ; qu'on ne retire enfin les crasses formées pendant la réduction , qu'après avoir chargé le fourneau un certain nombre de fois. Les crasses ( dites crasses de litharge) sont traitées au fourneau à manche sans mélange
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