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938 ) easdem mutationes subire metaifa -V-entricitio mano excepta. Exulent itaque ex officinis pretiosa ista et inutilia ; vanus enim est , teste Linno , qui da stirriat , stultus qui in medicinâ adhibet.
ORDO 1V. BITÙMINA. Mixta infanzmabilia , gravi odore.
1. Pix montana , friabilis souda, rudis.
Lapis ater , fragilissimus , in igne flagrans nitoris expers , sulphurei odoris , constat oleo bi-
tuminoso , particulis argillaceis , in unam solidarn,
homogeneam, et h y drargy ro viduam massant , coag-
mentato.Habitu convenit ciun lithantrace , quate in littorali austriaco, nunc Flumini , eruitur ; differt tamen fetido odore , noXio fumo , et obscuriori
colore , quibus notis ab eo quoque distinguitur, ,
qui in Stiriâ inferiore reperitur , fragilior, lev ior variisque stratis , superficie potissimâ rida:lue donatis , constans ; necnon ab illo qui circà Gotsche agit, fibrosa textur, et lignO sentiexusto per ornnia simili, quique nihil est abud quàm lignea substantia.; à biturnine liquido penetrata , sicque fossilis carbonis formam adepta. Uncix bila=
et dra.chma una exusti lapidis , relinquunt grana quinquaginta quinque terne subnigne , micacea inertis.
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EXTRAIT D'UN rapport sur les" forêts -et masses de houille des environs d'Issoire.
Par le C.en LAVERRIERE , ingénieur des mines.
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Issoire , 4 Messidor an 5.
N peut considérer sous deux points de vue les bois de l'arrondissement d'Issoire ; savoir, relativement aux sapins, destinés à la construction des bateaux connus sous le nom de sapines, et relativement aux bois et taillis essence de chêne et de hêtre. Les. sapins sont situés dans les montagnes qui séparent les ci-devant provinces d'Auvergne et du Forez. Ces bois servent à l'approvisionnement des chantiers de Saint-Just-sur-Loire et de Gemea.usur-Allier,, dans lesquels on construit les bateaux
pour le transport des houilles. Leur exploitation. et leur aménagement sont de nature à les perpétuer,
parce que lorsqu'on abat un arbre , comme on
destine la partie inférieure à faire des c,ourhes pour les bateaux , on le coupe à environ un mètre et
demi ou deux mètres du sol; on fait autour un large fossé pour déraciner la totalité du tronc , ce
qui forme une sorte de labour sut- lequel les graines des sapins environnans lèvent avec d'autant plus de facilité et d'abondance , que le sapin ne vient bien qu'a l'abri , et qu'il ne se fait point , dans ces
bois , de coupe à taille ouverte. Il suffirait de s'cpposer au défrichement, pour que l'existence et la repro-
duction de ce genre de forêts fussent parfaitement assurées.
,lin'en est pas de même des bois et taillis essence
II!
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