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{ 66 ) .substances qui ne sont point douées de la propriété de se mouvoir sur l'eau, l'acquièrent lors-
qu'elles -ont été trempées dans quelqu'espèce d'huile essentielle. De petits morceaux de pain ..très-sec,
ayant été frottés contre une écorce de citron et
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de l'eau dé rose, jusqu'à avoir le degré de mollesse qu'on veut lui donner.
X I.
..enduits ainsi de l'huile essentielle que cette écorce renferme , se remuaient avec beaucoup de force, lorsqu'on les plaçait sur de l'eau doucement échauffée par le soleil ; mais ce mouvement cessait bientôt
/M'yen d'ilter à l'eau-de-vie de grain le goalt de chaudière qui la disiingue , et de la rendre aussi bonne
entièrement Il résulte évidemment de ces observations, que .phénomètne est-dît uniquement aux jets d'huile ce essentielle qui .SOrtent de différentes substances aromatiques -et -qui .obligent les petits :corps d'où ils sont lancés à se mouvoir .en sens inverse , par IRAneme cause qui produit le, recul d'un canon et l'ascension d'une fusée volante,: Ce mouvement cesse .lorsqu'il s'est formé une pellicule d'huile à Ia_s.urface de reatt,,inais il recommence quand On a fait écouler cette huile; ( Page 214.)
CE Moyen n'est qu'une application des décou-Vertes déjà. faites par Lowitz. Il consiste à mettre
X. Sur les cosmétiques en générat; par HEYER.
L E cosmétique , connu sous le nOin d'eau de beauté d'Angleterre , est dé l'extrait de saturne, dis-
sous dans de l'eau de fleur d'orange , mélangée peut-être d'eau de rose. Une autre est une dissolution de sublimé dans une liqueur odoriférente. Enfin, Pou vend sousle nom de secret particulier de la comtesse d 'Eglington , une pommade blanche, qui n'est autre chose que ce qu'on nomme cire punique; c'est-à-dire, un savon composé de cire blanche et de potasse, et trituré ensuite avec
que de l'eau-de-vie de vin; par GRATSCHEF, à Pétersbourg.
dans l'eau-de-vie de grain du charbon de bois pulvérisé et du riz concassé; à laisser ce mélange 'en bouteilles pendant i5 tours, en agitant les bouteilles trois fois par jour, et enfin 'à le filtrer avec soin, pour que l'eau-de-vie soit parfaitement claire,
( Page 233 .)
XII.
Sur l'inflammation du soufre avec les métauk , sans le toncours de l'air vital; par le docteur RICHTER.
NOUS avons rapporté, dans le second numéro du Journal des ildines, les expériences remarquables de plusieurs chimistes hollandais, auxquels est due
la découverte de ce phénomène. C'est par la décomposition de l'eau que le docteur Richter entreprend d'en donner l'explication; ainsi que l'avait déjà fait le citoyen Adet , dans le numéro que nous venons de citer (page 116 "). Il pense qu'on peut admettre que, quelque bien séché que soit le soufre, il retient toujours une portion d'eau, ne fût-elle que d'un à deux centièmes, comme le spath pesant, qui, quoique très-compacte, rougit au feu avant d'abandonner les dernières portions d'eau auxquelles il est uni, Cette -petite quantité
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