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quelques exptriences à ce sujet ; niais il ferait avant tout , purifier le nickel de Suède ,. qui est toujours uni à beaucoup d'arsenic. Des affaires l'empêchèrent de se livrer à ce travail. Il invite les chimistes à s'occuper de cet objet, qu'il croit véritablement intéressant, tant pour les particuliers que pour enrichir l'état d'une nouvelle branche de commerce.
Addition tirée d'un Mémoire du missionnaire COLLAS.
On fabrique en Chine quantité de petits ouvrages , et en particulier une quantité dei pipes d'un cuivre qui approche beaucoup de l'ardent ,
et que les Chinois nomment pé-tong- , c'est-à-dire, cuivre blanc, Le véritable vient de la province de Yun-nan , où il se retire de mines- particulières il est en pains ronds , pesant environ trois livres.. On lit dans Histoire de l'Académie des Sciences,
1739, page 24, qu'un morceau de ce cuivre
blanc de la Chine , qu'on disait être naturel, était devenu rouge après trois fontes , et avait perdu
sur 2 gros et demi,. 26 grains de son poids. Geoffroi soupçonna , d'après cette expérience , que ce cuivre blanc n'était qu'un alliage de cuivre rouge avec l'arsenic, et que sa diminution de poids était due à l'arsenic , qui s'était en allé en fumée. (If s'était trompé en cela, car le pak-fong , suivant Engstroem , ne contient pas un atômed'ai'senic.) Le métal était alors plus doux que quand il était
blanchi. Le pé-tong ou pelante; est coulé trèsgrossièrement. Les crasses qui y sont adhérentes peuvent être un objet d'examen. On travaille beaucoup en cuivre blanc à Canton, niais il est .souvent altéré. (Mémoires concernant les 1
(binois ; tome XI.)
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TABLE DES MATIÈRES contenues dans ce Numéro. RAPPORT sur les forges du pays conquis en Espagne, dans les Pyrénées occidentales ; parie C.enNluthuon, Page ingénieur des mines RAPPORT sui« quelques mines du même pays ; par le 19. même TABLEAU minéralogique du Guipuscoa , et dela partie de la Navarre qui joint la France ; par le imême. 25. RAPPORT sur les mines situées dans le grand-bailliage de Trarbach , faisant partie du duché de Deux-Ponts,
sur la rive droite de la Moselle; par l'inspecteur des mines , Schreiber
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ANALYSES de quelques minérais du grand-bailliage de Trarbach , cités dans le mémoire précédent ; 'par le 69. Vauquelin, inspecteur des mines ESSAIS sur le sel marin ; par Joseph Armer , médecin 75 des hôpitaux militaires 80. Coquebert LETTRE du Ce?: Silvestre à Charles RENsEIGNEMENS sur les charbons et bois fossiles découverts lors de la fondation du pont de la Révolu-
tion ; par le C,411., Demoustier, ingénieur et chef des 83, travaux publics du département de Paris EXTRAITS d'ouvrages étrangers.
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