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T\Taït des traVaux considérables , iFy a plusieurs siècles , à_nn quart de lieue au midi de Fierreville , et an-tant de Surtainville., dans un endroit nommé la-Ferrière. Il v a aujourd'hui, it la proximité de Ces anciens travaux, une carrière_ d'où Voii tire de la pierre à chaux qu'on envoie à Cherbourg. On trouve dans les attraits des ar4Gie41s-,..qui 'ont été déplacés pour creuser cette carrière, des morceaux assez g,ros de minérai de plomb fort riche. On exploite une autre carrière de pierre calcaire en bancs horizontaux à Surtainville même. Cette pierre a servi aux travairSede Cherbourg. En général
le minerai trouvé dans cette partie du département , -1:a:-7-é-Tér. à de petites profor+ deurs , en fouillant pour avoir de la pierre à chaux. Les travaux des anciens dans ce. canton paraissent avoir donné lieu aux tentatives qui fuirent faites ,`il y .'a cinquante soikante,ans pour attaquer le même filon. La compagnie qui s'étoit forme, pénétra dans les travaux de la .
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Ferrière ; mais ne pouvant y recannottre la
'direction d'aucun filon, elle ne fut pasplriSloi n. Elle fit une autre fouille à trois cents toises au end-ouest du ci-devant château de Pieneville , sur un terrein de forme à-peu-près triangulaire, entouré' de terres en culture. On assure que cette fouille ne furapprofondie.que d'une cin-
quantaine de pieds , et que l'impéritie des entrepreneurs jointe au défaut de fonds la firent bientôt abandonner. Il est question de cette eAtreprise (,t, de celle faite près de-là,
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Surtainville, comme infructueuses &Jan-donné-es l'une et l'autre, dans un étatetenvoyé par l'intendant de Caen en 1741. Le citoyen Duliamel père ayant eu occasion, en 1784, de visiter les décombres venans de ces fouilès , y trouva beaucoupprode minerai de plomb , même en morceaux gros comme le poing. Le rapport avantageux qu'il fit de la richesse de ce minerai, la situation avantageuse de Pierreville près de la ruer, à trois lieues de la férét de Briquebec qu'on espérait
pouvoir fournir ut le bois nécessaire, et dans une partie du Cotenrin où l'on a îupposé de tout temps qu'il existait de 3a houille ; toutes ces circonstances réunies engagèrent , en 1788 , les citoyens Sorel à reprendre ces travaux, en vertu d'une concession en date du 8 mars. Pendant
dix huit mois que dura leur exploitation dirigée par le citoyen Duhamel père ,
firent quatre puits d'environ cinquante pieds de profondeur , un cinquième puits souterrain qui descend vingt cinq pieds plus bas et cent quatre - vingt - douze toises de galerie.
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La roche dans laquelle s'exploite le minerai est une pierre calcaire , dure et compacte, d'un gris noirâtre , entrecoupée de plus ou moins fortes de spath calcaire venules blanc et lamelleux. Cette roche est coupée de temps-à. autre
par des couches ou lits de schiste
argilleûx noir , quelquefois décomposé, qui
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