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DU PROCÉDÉ. DEATON.
EXAMEN
rapidement sur ces détails parée que le métal Heaton ne
3n Fer doux des troisième, et quatrièmeepérations (fonte 'de Longwy). ,
Une partieclu::métal raffiné.- des troisième et quatrième - opérations :fut transformée en :bridge rails en suivant .la I marcittede .!deuxième! charge précédente i (1108. 5 et , 6). .Les rails, ainsi :obtenus par Tacpuietage et coProyage!ordinaires,
!ressemblent! aux railsicorroyes, de la deuxième opération. La cassure.- montre 'cependant :moins de nerfs.: L'affinage 'ne.sembie pas,parfait,:iia ,cassure dénote un certain défaut cl' homogénéité tr Fer doux de la cinquième opération (fonte de: Hayanges).
On a traité au four de puddlage 257 lb du métal raffiné de la cinquième opération. On a fait deux massiaux qui furent réchauffés ad blanc soudant, puis laminés pour bridge rails. Ils présentent:quelques criques, preuves coritaines: d'une épuration; :incomplète. Une , autre partie -fut -traitée ,a.la faconurdinaire::: les barres brutes sont cisaillées, -.p.a-quetées, corroy ées,:puis laminées en fersplats,.de 2 pouces sur -3M,.de pouce n0 .8). 'Fer doux,,des siième.let,liuitième,apbrations (fonte dellayanges.
On a soumis au même 'travailquelques cents livres du
.
métal raffinedes sixième! et ihuitièmeopérations. On a ainsi obtenu, après p.aquetageet, corroyage,..:des barres, plates, lam iné !de :2 ponces ,sur5/8..de pouce '(n; ,g et .1J0);Iet ; des barres quarrées4 étireestuumarten,u;i de 1:/2!:pou'oei de :Côté
111 2. Peux .loupes :de la.?huitième opération furent,,,enuutre, pilonnées en massiaux..et-iréchauffées,au blanc -soudantisans paquetage. Après ce réchauffage, l'un 'deux-lut étiré affluaitteau en barres quarrées de 1/2 pouce de côté (n° 13); l'autre,
laminé en fer plat de 2 pouces sur 5/8 (n° il). Je passe
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saurait être travaillé économiquement pour fer. doux,. comme
je l'ai déjà dit. L'épuration au nitre est trop coûteuse, et le déchet du travail des loupes trop considérable. La qualité des fers, n'est «ailleurs pas aussi satisfaisante qu'on pourrait lé désirer ; mais à cet égard il ne faut pas oublier que, dans les essais!en question, la proportion de nitre fut en quelque sorte fixée au hasard, et en tous cas
sans analyse préalable des fontes ; de plus, les ouvriers puddleurs ne connaissaient pas la matière lqu'ils:traitaient.
La ténacité des barres ressort, jusqu'à un certain point, ,des essais de rupture au choc dont je viens de parler; ,mais se trouve établie plus exactement par les expérience faites
dans les ateliers bien connus de l'ingénieur Kirialdy à Londres.
III. ESSAIS DES PERS PAR TRACTION.
o. Les barres de fer furent toutes éprouvées 'telles qu'elles arrivaient de ;la forge. La longueur soumise ala traction était de 10 pouces anglais ( o'",254). Je résume les
résultats dans lé tableau suivant qui contient, outre les données en mesures anglaises, une colonne avec la charge
de rupture en kilogrammes par millimètre;,quarré de la section primitive. Les numéros des expériences correspondent aux numéros placés ci-dessus, entre parenthèses, en regard des !opérations 'd'où proviennent les barres essayées.