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TRAITEMENT DE LA ("4:4LÈNE
AD FOLIE GALLOIS..
Main-d'oeuvre, 19J,66 (journées de i heures), à. 5',268.. llouille, 9`,/150 a t 8°,75.
Outils, chaux, frais divers. Frais spéciaux par semaine I tonne de minerai traité. Rapportés ils donnent: Main-d'oeuvre. 1j,17 à 5°,27 3°,82 Houille.. . . 0`,561 à18`,75 100,52 Divers
Totaux
.
t76',81 256', o6
i tonne de plomb obtenu.
ij,75
5°,62
0%825 15°,56
0°,90
1.0,32
i5,24
22',1t0
J'essayerai plus loin de faire une critique détaillée de l'opération au réverbère gallois, cependant quelques observations sur le travail de Stiperstones sont nécessaires ici pour faire mieux comprendre en quoi consiste la supériorité de celui de Snailbeach. Sous le rapport des diverses périodes et de leur durée, on a ici: heures consacrées principalement à échauffer le mine2 rai régulièrement. Pendant la dernière heure de l'opération précédente, la température du four a cessé de s'accroître ; la charge est considérable, en sorte que,. malgré l'étendue des parois portées en rouge, il est nécessaire de ehayger lagrille pour atteindre le point où l'oxydation mie commencer. C'est cependant ce qui a lieu au bout d'une heee et demie, heure employée au cooling permet à, air extérieur d' oxr, der et de refroidir en même temps les matières; heure de coup de feu les ramène à la température favo, 1 rable à l' oxydation et détermine déjà le c,onitnence ment des, réactions du sulfure sur les parties oxydeest heure pour le deuxième cog, achève presque de former la proportion d'oxydes propre à la réaction définitive. brasser pour la çoit, 2 heures sont consacrées à chauffer et lée du plomb; heure enfin au ressuage et à l'enlèvement des crasses. 1 7
heures. Durée de l'opération.
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A cette division du travail on peut faire les reproches suivants : les coups de feu et les coolings sont respectivement trop prolongés ; on échauffe trop ; on atteint d'abord l'agglomération, puis le début des réactions beaucoup trop vite ; il est alors nécessaire de laisser les portes longtemps ouvertes pour prévenir la fusion des matières ; en somme au lieu de maintenir la température autour du point d'oxydation on la fait beaucoup trop osciller. D'autre part, malgré la bonne disposition du well, il est évidemment vicieux d'y laisser le plomb pendant une fraction notable de l'opération suivante. Ces inconvénients peuvent être évités en rétribuant davantage les fondeurs ; ils sont d'ailleurs atténués à Stiperstoues par la facilité particulière avec laquelle les minerais se prêtent à la fonte. Travail à Snailbeach. - A Snailbeach on charge dans le four entièrement vide et nettoyé, sauf la partie de la sole voisine du bassin, du côté de l'avant, où se trouve un faible résidu des écumes enlevées sur le pot. La galène au poids de 24 cwts. = 1 , 2 18k,779 est étendue au rable ; et dans le four à cinq portes son épaisseur devant le pont n'est que de om,io. Après deux heures, pendant lesquelles on retourne le minerai et égalise les surfaces à quatre reprises, on commence une période d'oxydation de quatre heures, et composée de coolings et firings fréquemment répétés. Six
heures après le chargement, on élève la température, ,et pendant cette période de deux heures, a lieu sous l'action de brassages énergiques la coulée de la majeure partie du plomb vers le well. Sur la fin, on rapproche du pont les crasses restées sur la sole, ou relevées à la surface du well, et on en fait le ressuage en y incorporant un peu de chaux. 04 les fait ensuite tomber sur le sol de l'atelier par la porte du milieu de l'arrière. On procède à la coulée (8' 1/2 du commencement) ; on écume le pot ; et les matières mêlées de charbon, mises sur