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PROCÉDÉ KIND.
A a p. c. de la durée totale du travail ont été employés au forage proprement dit, 1.i p. c. pour la descente et la remonte du grand trépan,
21 p. c. pour le curage du puits, 8 p. c. pour le travail au petit trépan.
18 p. loo ont été absorbés par les pertes de temps, occasionnées soit par les changements d'outils, soit par la réparation des accidents.
L'avancement moyen par journée de travail a été
TRAVAUX EXÉCUTÉS EN BELGIQUE.
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mètres, dans le sens opposé à la baraque du trépan; la cuilon pourra, de cette manière, placer du côté de lorsporter le petit outil, ler un second chariot pour grand. Les trois chariots qu'on doit manoeuvrer avec le portant, l'un la cuiller, l'autre le petit trépan, et enfin, le troisième, le grand trépan, seraient donc toujours
suspendus surie chemin de fer de service, de façon qu'on puisse faire glisser au centre l'outil qui doit fonctionner. Un examen attentif du plan des bâtiments de son-
de om,52.
dage permettra de saisir la portée de ces diverses ob-
En comparant ces résultats avec ceux obtenus dans le percement du puits préparatoire, on remarquera 10 Que le temps proportionnel absorbé par le curage du puits est sensiblement le même des deux côtés ; 2° Que, d'une part, le travail au petit trépan, rendu nécessaire par le tassement des déblais dans le puits
servations.
préparatoire, et, d'autre part, les retards nombreux occasionnés par les changements plus fréquents des outils pour faire fonctionner tantôt le grand trépan, tantôt le petit trépan ou la cuiller, ont réduit de 56 42 p. ioo le nombre d'heures employées au travail utile du forage ;
3^ Que la perte de temps occasionnée par tous ces changements, y compris les accidents, a augmenté de 10 1/2 à 18 p. 100; 40 Et enfin que le travail au petit trépan a lui-même absorbé 8 p, ioo de la durée des opérations. C'est par suite de ces résultats que nous avons insisté précédemment sur l'avantage qu'il y aurait à faire
marcher toujours, simultanément, le percement du puits préparatoire et l'élargissement au grand diamètre; et afin que ce travail puisse se faire avec toute facilité dans les manoeuvres, nous noué proposons, à l'avenir,
d'allonger notre tour de sondage, d'une couple de
général. En résumé, le forage du puits de Saint-Vaast, jus- Résultat
qu'à la profondeur de 98 mètres, au diamètre de 4",25 et jusqu'à 155 mètres, au diamètre de im,57, a duré 12 1/2 mois, dont deux mois de chômage. Si l'on tient compte séparément des 54 ou 35 derniers mètres du puits préparatoire, inutiles pour la partie du grand puits qui est achevée, et forés uniquement
en vue des travaux ultérieurs, il reste 8 1/2 mois de travail effectif pour 68 mètres de forage, soit un peu plus de 7-,4o par mois, petit et grand puits réunis. Certes, ce résultat est déjà satisfaisant, si l'on tient compte de la dureté excessive de la plupart des roches qu'on a dû traverser à Saint-Vaast. Mais il est certain qu'avec une installation bien organisée dès le commencement du travail, et si l'on modifiait la marche des opérations ainsi que nous l'avons indiqué, on parviendrait encore à augmenter sensiblement l'effet utile des travaux de sondage. La dépense en main-d'oeuvre et frais généraux, pendant la durée des travaux du puits no 5, a été en moyenne
de 2,518 fr. par mois ; la consommation en charbon, huiles, graisses, fers, aciers, etc., pour le service des machines, pour la réparation des outils et pour les di-