Annales des Mines (1842, série 4, volume 2) [Image 86]

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CHIMIE.

nitrique, et ôh le calcine polir le transformer en magnésie pure. Moyen de Séparer la G-LuciNE de l'ALUMINE, par MM. C. Grnelin et Schaffgotsch. ( An. de

Pog., t. 5o, p. 175.) On dissout lés deux terres, à. l'état d'hydraté humide en les faisant bouillir dans une solution on 4e potasse concentrée : on laisse refroidir' étend la dissolution et l'on fait bouillir cette diSSolution: toute la glacine se précipite, et l'altifiiine l'este d'ans la liqueur. Ou bien on verse sur le mélange des &tri terres une dissolution étendue et bouillante de potasse

caustique, qui ne dissont que l'alumine ét laisse

la glucine. La glucine ainsi séparée retient de la potasse et ne peut plus se dissoudre dans la lessive alcaline

forment lorsqu'un oxyde métallique est exposé à l'influence simultanée d'un alcali et d'un corps oxygénant. Les acides métalliques qui sont produits par ces deux procédés présentent dans leurs propriétés des différences essentielles. Les premiers sont en général stables et peuvent former avec les bases des sels bien définis et cristallisables; les seconds, au contraire, sont faciles à décomposer et perdent

une partie de leur oxygène sous de faibles influences.

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Pour donner un exemple des acides de la première classe, j'ai choisi le dernier degré de com-

binaison de l'étain avec l'oxygène; qui a reçu le nom d'acide stannique; et pour Catàetériser les acides de la seconde sérié, j'ai étudié mie nouvelle combinaison du fer avec l'oxygène, que j'ai nommée acide ferrique. En prenant pour exemple des acides métalliques appartenant à des métaux

froide; mais un long lavage lui enlève tout l'alcali et lui restitne sa solubilité.

voulu indiquer l'existence dé importants, combinaisons semblables pour les métaux moins

Recherches sur les ACIDES MÉTALLIQUES; par

connus. C'est par l'examen de l'acide ferrique que j'ai

M. Frenay. ( Compte rendu de l'Acad., t. 14, 1). 442.) « En son:Mettant les acides métalliqiies à un examen général, j'ai trotivé de noliVelles combirbns dés métaux avec l'oxygène et obtenu de nouveatiXels remarquables par lett belles formes cristalline. On peut diviser le S aCides métalliques en deux classes : dans la Minière se placent ceuk

qui résultent dé la combinaison immédiate des métaux avec l'oxygène ét qui se dissolvent à froid dans lés .ilcalis; dans la seconde , les acides qui se

commencé. J'expose d'abord avec détail, dans mon Mémoire, les différents procédés que j'ai employés pour préparer les ferrates. Je démontre que l'on peut obtenir des combinaisons de l'acide ferrique avec les bases, par voie sèche et par voie humide. Les procédés par voie sèche reviennent tous à calciner du peroxyde de potassium avec du

sesquioxyde de fer dans lm vase qui n'exerce aucune action sur le ferra-te:Le procédé par lequel on obtient le ferrate de potasse par voie sèche avec le plus de facilité, consiste à jeter sur de la limaille

de fer que l'on a fait préalablement rougir, du nitre desséché et réduit en pbudre Co doit ein-