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472 'TRAITEMENT flU STILFURE Dr PLOM; par les essais docimastiques; cela pourrait d'au.;
tant plus facilement avoir lieu, que, selon la remarque déjà faite, ces essais donnent, si l'on emploie le flux noir des résultats, de 6 à a pour § au - dessOus de la tenue véritable, et qu'ainsi ils ont bien pu indiquer dans les minerais traités une proportion de plomb inférieure à celle qui existe réellement. je pen-
serais donc que ce sujet n'est pas suffisamment éclairci pour décider définitivement quelles sont
les méthodes de fonte que l'on doit préférer pour les minerais de plomb, ou de celles elLi
usage à Pesey, ou de celles usitées à Tarnowitz et à Vienne.
NOTICE SUE.
UNE ALUMINE HYDRADÉE SILICIFÈRE
(Extraite d'un Mémoire lu à l'Académie royale des Sciences); PAR
L ELI ÈV RE , inspecteurgénéral au Corps royal des Mines.
/VISITANT en 1786, avec mon collègue Gillet de Laumont, les mines des Pyrénées, arrivés à la montagne de l'Esquerre, laquelle domine la rive gauche de la rivière d'O-o, nous examinions plusieurs attaques faites sur une mine de plomb; je remarquai une substance blanche tapissant les parois d'une de ses ouvertures, de laquelle sortait un filet d'eau. Cette substance était molle (s) et pénétrée d'eau, sa surface était fortement froncée , les interstices entre les plis sont souvent tapissés de petits mamelons de même nature, plus ou moins transparens , ressemblant beaucoup au mallerglas des Allemands. Au pied de la montagne où s'était écouléereau, je ramassai plusieurs fragmens d'un schiste quarzeux et martial, recouverts d'une légère couche (I) Ce fait vient à l'appui de celui déjà cité par Klaproth,
que MM. Rocnitz et Wiegleb se sont assurés q.le le bel hydrophane de Ilubersberg était mou dans l'intérieur de la mine.