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FOURS A CUVE, ETC.
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THÉORIE DU COMPRESSEUR , ETC.
ceVT
(f NOTE
n
Il en résulte que l'excès de la chaleur perdue sur celle absorbée sera
Par M. L. GRUNER.
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cal/T
SUR LES FOURS A CUVE A SECTION RECTANGULAIRE OU OVALE.
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c'est la chaleur produite par le travail dépensé kIT
n
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que nous avons calculé ci-dessus. Le travail mécanique J correspondant à une unité de chaleur sera donc kP
J
(k
OcurT.
Soit eo le poids du mètre cube d'air à la température de la glace fondante et à la pression atmosphérique Po, a le coefficient de dila-
tation de l'air, on aura p tT
et par suite J
aT
p0 zro
des minerais, et surtout les hauts fourneaux à fer et à cuivre.
akP ceo (*)
tk
Au premier abord la section horizontale la plus rationnelle
des fours à cuve est le cercle. C'est la forme qui, sous le contour minimum, offre la superficie la plus grande, et, par suite, le moins de perte de chaleur par les parois. C'est la forme qui réalise le mieux, du moins en ce qui concerne le pourtour, la répartition uniforme de la chaleur; enfin c'est elle encore qui obvie le mieux aux difficultés inhérentes à la construction des fours. Il ne faut donc pas s'étonner si cette forme est celle que l'on rencontre le plus souvent dans les fours à chaux, les fours de calcination
Tel est l'équivalent mécanique d'une calorie. En posant
Le cercle a pourtant aussi ses inconvénients; on l'a senti depuis longtemps, en Angleterre, dans les fours à griller le minerai de fer, et en Suède, dans les fours de fusion des minerais de cuivre. Les mêmes désavantages ont fait récem-
27.3
Po= 10.353k C
0,211
1k195
on obtient
J =_ 420",4 valeur qui ne s'écarte guère de celles trouvées expérimentalement par M. Joule, dont la moyenne est en nombre rond
(*) Cette formule coïncide avec 'la formule (07) du Commentaire aux tra-
vaux publiés sur la chaleur considérée au point de vue mécanique; par M. Résal.
Annales des mines,
livraison de i861.
ment adopter, presque simultanément en Amérique et en Russie, pour quelques hauts-fourneaux, la section rectangulaire, ou plutôt celle d'un ovale très-allongé. Si nous considérons d'abord les fours à chaux ronds et les fours à griller le minerai houiller, il est bien évident
que plus on cherchera à les élargir, et plus leur marche sera irrégulière. La colonne centrale descendra plus vite et sera exposée à une chaleur intense, tandis que les matières à calciner, qui suivent les parois, ont un chemin plus long à parcourir, sont retardées par voie de frottement, et sans cesse refroidies par l'effet des parois. Ainsi donc, il TOME Hl, 1865.
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