Annales des Mines (1850, série 4, volume 17) [Image 325]

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'on emploie, en,Amérique d'amalgamation inventelipar Barba procédé etl :gfrre lini,:pfus grand degré ,cle. perfection qtre4e _patibi;:eest,l'amalgamatioti àl 'chaud sous l'influence du cdivre3 métalliqueleiel,cazq.,11 est k évident que pour les minerais qui renfer.,.Ment-s,une quantité assez considérable de chloçrureiet de bromure d'argent, il n'est pas néces-

Minerais aux-

91)éptliS 4011 g te dipS ,

quels est appli- unf.procédé

saire \de les soumettre à l'action de dans ce cas sont les minerais que l'on nomme colorados à cause de la coloration

substanceschlorurantes;

produite par l'oxyde de fer qui accompagne habituellement les chlorobromures d'argent. Ces minerais sont aujourd'hui plus fréquents dans l'Amérique méridionale qu'au Mexique où les mines

ont atteint une plus grande profondeur et fournissent plus ordinairement des negros ou minerais noirs et sulfureux. On--récluit les colorados

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tioddleclilortitel cEargenfk7reee.bplue-pffectnée paril ,

le cuivre, mais pelemercureeletliaa- eiChçiezb dernier métal est considérable, tandis que si.c'est le cuivre qui -sert-4eiTedueteur elle est- presque

nulle et ne surpassepas 21 3 p. ioo du poids de rarigehbMippès sxhures d'ebulljttoislaanatikke est en I evéeqde lachaudère et ..l'on y alétite-u n e --1qjq'ser.: quantité de mercure égale a_célle déjà eMpléyée,r9 e*e)19 afin --de rendre famalgarne 'plus liquide :t ribluep facile à séparer par un lavage subséquent. --`t9ilflui`1 Cornme.4 minerais sur lesquels on pratique le Traitement ulté -

traitement cazo ne sont pas formés seulement. pnreoi ivre id:, d'argent natif et cblorobrome, mais qu'ils renfer-0. ment aussi du sulfure d'argent, les résidus prove-

nantdu cazo sont soumis ensuite au patio, mais sans qu'il soit nécessaire d'y ajouter du magistral, vu qu'ils sont imprégnés d'une quantité suibsantei de chlorure de cuivre. -On pourrait probablement éviter cette seconde opération en lui substituant le procédé que nous avons proposé et qui consiste à réduire le sulfure d'argent au moyen du cuivre métallique et d'une

solution bouillante de sulfate de fer, de cuivrer.

directement en les mettant, après porphyrisation, dans des chaudières en cuivre, avec de l'eau bouillante et du mercure: on y ajoute du sel marin dans

ou bien d'alun. Nousiavons constaté qu'il ne fiait* pas chercher à réduire simultanément le chlorure,. et lesulfure d'argent en présence du mercurecar le

la proportion de une partie pour cinq à dix par-

sel marin qui facilite beaucoup la réduction dtichlo.,

ties de minerai; il dissout le chlorure ou le bronatmeri

rure d'argent est insuffisant quand il s'agit du

d'argent et en facilite la réduction, qui est produite par le cuivre de la chaudière. Le mercure que l'on ajoute à différentes fois ne doit pas former pendanttoute la durée de l'opération plus,du double du poids de l'argent; car on a remarqué qu'au delà de cette proportion le mercure adhère

fure. D'un autre côté, le sulfate de cuivre qui est né-f.)

au cuivre du fond de la chaudière; alors la redue-

cessaire à la réduction directe de l'argent sulfuré. par le cuivre est beaucoup moins favorable que le

sel marirla décomposition du chlorure cl'ar,1 gent. D'ailleurs si l'on réunit le chlorure alcalin!) avec le sulfate de cuivre et qu'on les fasse agir cuti présence:du mercure il en résulte une grande

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