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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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248 [frottement?] sont augmentés ; 3° Les chaines sont sujettes à se briser et à interrompre le service. Je conseille de faire usage des machines ordinaires d'ailleurs si on perd de la vitesse durant l'assension des pistons on la regagne dans leurs descente, qui est plus prompte. Quand une roüe hydraulique est prés du puiton n'y met souvent qu'une seule manivelle qui néant moins peut faire mouvoir deux tirants fait par le moyen d'une croix ou autrement. Pour soulager la puissance d'une roüe on place communement des balanciers comme ceux T et U figure 2 planche 8, mais au lieu que les caisses de ceux ci illisible se remplissent d'eau, celles des balanciers ordinaires se chargent de pierre, de feraille, ou tout autre matiere [illisible] en raison du poids des attirails que l'on a pour objet de vaincre par leur [secours?] ce qui facilite le mouvement de la roüe, un balancier est plus utile aux machines qui n'ont qu'un tirant qu'à celles qui en ont deux également chargés ; car alors le poids de l'un est en équilibre avec l'autre on peut même se passer de balancier dans cette circonstance. Il arrive quelque fois que les tirants se brisent dans le puits ce qui occasionnerait du dommage aux pompes qui en seraient ebranlées. Pour remedier à cet inconvenient on place de distance en distance deux solives horisontales

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