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mal affinées . S’il y en a, il cherche à les détruire par l'action de l’oxygène des gazs. Cela n’arrive qu§re que si l’aide a été laissé à l’ouvrage plus qu’il ne convenait parce qu’il n’a une expérience suffisante du travail.— Pendant la formation de la loupe il faut toucher au feu aussi peu que possible . Enlèvement de la loupe . Dès que la loupe est formée et nettoyée il faut l’enlever est les porter au martelage. Toute perte de temps à ce moment est très nuisible pour la qualité quelque précaution que prend le puddleur . Si cependant quelques arrêts imprévus se présentent le puddleur habile roule sa loupe dans la scorie conserve un feu solide et règle la valve de façon à ne pas trop échauffer ni trop refroidir la loupe il faut toujours un fort volume de flammes afin de conserver une influence réductrice . Mais dans tous les cas, si on est obligé de garder la loupe seulement 10 minutes on ne perd pas moins de 25 kilos et la qualité se trouve gravement compromise Au bout d 'une demi-heure la loupe se briserait presque comme de la fonte. Des rails laminés dans ces conditions se brisent comme du verre lorsqu’on veut les redresser. Entretien du four Entretien du four —Il faut aussi des précautions pour le bon entretien du four . Quand on travaille plusieurs espèces de fonte à moins qu’on ne prenne soin de nettoyer la sole avec des [illisible] aiguisés des morceaux de fer vont inévitablement se loger dans les oins et leur quantité augmente à chaque nouvelle charge .— On ne doit pas laisser s'obstruer le canal qui amène l’eau sous la sole il faut surtout tenir la grille en bon état. Ce dernier point a une grande influence sur le rendement. Un bon puddleur peut retirer de chaque charge 10 à 15 kilos de plus qu’un médiocre. En admettant qu’il y ait 5 chars 1/2 par jour, il en en résulte par semaine avec le prix actuel du fer une économie de 55 francs