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LOIS, DÉCRETS ET ARRÊTÉS

Arrêté ministériel du 30 août 1889, admettant

/'ASSOCIATION-

à bénéficier pour le département de LOIR-ET-CHER, des dispositions de l'article 3 du décret du 30 avril 1880 (*). PARISIENNE DES PROPRIÉTAIRES D'APPAREILS A VAPEUR,

CIRCULAIRES ET INSTRUCTIONS ADRESSÉES

Arrêté ministériel du 30 août 1889, admettant PROPRIÉTAIRES D'APPAREILS A

dans le département du VAIS, décret du 30 avril 1880 (*).

/'ASSOCIATION DES

AUX PRÉFETS, AUX INGÉNIEURS DES MINES, ETC.

à bénéficier, des dispositions de l'article 3 dit

VAPEUR DU

SUD-EST,

SOURCES MINÉRALES. CHEMINS DE FER. — CIRCULATION

Par décisions de M. le ministre de l'intérieur, des 19 juillet et 16 août 1889, ont été autorisées l'exploitation et la vente de l'eau minérale provenant des sources ci-après désignées: 19 juillet 1889. — Boues alimentées par la source minérale dite « des Rochers » à Montbrun-les-Bains (Drôme). 16 août 1889. — Sources Léon n° 3 et Léon n° 4, à Saint-Yorre (Allier. — Source de la Coupe n° 1 à Aizac (Ardèche). — Source du Cratère à Jaujac (Ardèche). (*) Les dispositions de cet arrêté sont identiques a celles de l'arrêté du 9 décembre 1880 (Association parisienne, volume de 1881, p. 5). — Voir le décret du 30 avril 1880, volume de 1880, p. 92.

DES LOCOMOTIVES SUR L'ENSEMBLE

DU RÉSEAU FRANÇAIS.

MM. les Administrateurs de la compagnie d Paris, le 1" juillet 1889.;

Messieurs, à l'occasion d'incidents d'exploitation provoqués par !a rupture de boulons d'éclisses au passage de machines de la compagnie de l'Ouest sur une section commune aux réseaux d'Orléans et de l'Ouest, mon administration a été amenée à faire examiner par les différents services de contrôle la question de savoir s'il était possible de faire circuler, sans difficulté, une locomotive d'un réseau quelconque sur l'ensemble des lignes françaises. La solution intéressant du reste tout particulièrement l'autorité militaire au point de vue des transports stratégiques, j'ai du consulter aussi M. le Ministre de la guerre. Mon collègue a fait connaître que la circulation des machines à marchandises, seules utilisées en principe pour les trains militaires, pourrait, à la rigueur, être considérée comme assurée sur l'ensemble du réseau français, en admettant pour la saillie des boudins des roues la limite de 40 millimètres, qui n'est actuellement dépassée que sur le réseau de l'Ouest pour certaines machines. La Commission militaire supérieure des chemins de fer a même déclaré qu'il était nécessaire, pour avoir une sécurité sbsolue, de fixer à 36 millimètres la limite supérieure de la saillie des boudins des roues des machines à marchandises en service sir les lignes françaises. Le Comité de l'exploitation technique, auquel j'ai soumis l'affaire, a reconnu le bien fondé des observations de M. le Ministre