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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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12° Citons un fait qui a une grande importance. M. Ducha??? a remarqué que la puissance du filon de Storvärt en suivant la nature des roches encaissantes . Que la nature de la roche aurait-elle pu avoir une influence sur la puissance des dépôts sédimentaires qui sont placés sur elle ou sous elles? Au contraire rien de plus naturel que de supposer que des roches de nature différentes soient plus ou moins promptes à fissurer, comme on en a d'ailleurs bien des exemples . Sans doute l'argument n'a pas grande valeur puisque le [illisible] a été contesté . Mais il [illisible] à être prouvé, il suffira à lui seul pour démonter la théorie éruptive. Il est des gîtes fort curieux sur le type de celui de P????? une colline de grabbos est traversé par une longueur remplie de schistes pyritifères dont la schistosité est au limite du grabbo. Doit-on supposer que le remplissage de cette veine est réellement formée de schistes; c'est à dire que les schistes déposés depuis longtemps ont été pris dans une immense éruption de gabbros et cela sans être aucunement dérangés en conservant sur une grande longueur tant en [illisible] qu'en direction, le parallélisme de leurs feuillets? C'est plutôt un phénomène analogue aux skjplen que nous devons demander l'explication de ce fait. On a vu que la plupart des filons [illisible]sont tapissés sur les épontes par une couche [illisible] [illisible] d'origine éruptive appelée skjole. De même n'a t'il pas pu arriver qu'une faille produite dans le gabbro ait été remplie successivement tantôt par des émanations méta???? tantôt par des émanations analogues à celle qui ont donné naissance au Skjolen. De la des séries de dépôts altern [illisible] d'argile et de pyrite qui donnent lieu à l'apparence [illisible]d'une bande de schistes imprégnés. Ainsi ces faits en apparence normaux sont une preuve nouvelle de la théorie de M . Kjerulf.