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etc: le supposons composé d'un atome de métal et de trois atomes d'oxygène , qui est. la supposition originelle que j'ai établie dans ma première table, nous trouverons que cela coïncide beaucoup avec l'analyse ci-dessus ; car 11,249 100 26,669; ce qui diffère très-peu de 3 mon analyse. Si nous considérons l'analyse des oxydes d'antimoine de Berzelius, dans son Mémoire sur la cause des proportions chimiques, publié dans le précédent volume des Annales de

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SUR LÀ COMPOSITION'

RAPPORT Sur l'élévation de l'eau de la Seine à Marly.

philosophie, comme correcte, le poids d'un

atome d'antimoine serait 19,129 ; mais je dois confesser que plusieurs de ses ci:inclusions me paràissent fondées sur de trop légères analogies pour qu'on doive y avoir confiance. Je pense donc qu'il sera plus sûr, clans l'état présent dé

nos connaissances, de déduire le poids d'un atome d'antimoine, du sulfure de ce métal,

dont la composition nous est assez connue, que de le faire des déductions imparfaites tirées des oxydes qui n'ont pas encore été soumis jusqu'ici à un examen satisfaisant. ( Cet article est extrait dn n°. 278 des Ann. de Chiai. )

f

IL résulte d'un rapport qui a été fait à l'Institut, par MM. Carnot,Poisson et Prony, que M. Brunet pentu"est le premier qui ait établi un appareil seul jet, du. à élever l'eau en un rent , propre jusqu'à l'aquéduc qui la conniveau de la Seine Marly à Versailles, c'est-à-dire, duit ensuite de à une hauteur d'environ 16o mèt. ( 5oo pieds).

En théorie, l'élévation de l'eau à toutes haupompe fouteurs est possible au moyen d'une lante, et en employant une force suffisante ; mais dans la pratique, il faut trouver des tuyaux capables de résister, sans se briser, aux pressions et aux chocs qu'ils éprouvent. Quand la colonne fluide est en repos , la pression point est proporqu'elle exerce en chaque au-dessus de ce point, tionnelle à sa hauteur

de sorte que dans le cas d'une élévation de 16o mètres, elle est énorme à la partie inférieure du canal de conduite ; cependant ce n'est pas en cela que consiste la plus grandie difficulté, forts, et l'on trouve aisément des tuyaux assez pour supporter et surtout assez bien fabriqués qui fait cette diffisemblable charge

ce une l'intermittence du culté, c'est principalement suite de chocs dais au rejet, qui produit une tour de la colonne fluide sur elle-même, et à ses changemens brusques de vitesse, lesquels chocs, (

) Cet articre et les suivans sont extraits

du Bull. des Sc.