.MTUx.NDEzNTk

De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
Aller à : navigation, rechercher

(.11. )

Pour nous mettre à portée de juger quel

et

degré d'extension, on pourroit donner au produit actuel des fabriques d'acier, nous avons cherché à connoitre la quantité de fonte que donne chacun des fourneaux qui alimentent les aciéries. Nous avons reconnu que presque tous ne travailloient pas toute l'année

pou

plo C en

li

( le d'el

faute d'eau , et ne travailloient même pas

Arti Départe-

Incendie/4one H, blanc.

div

Hi,

noir O

quoi

.

prop de

tin e' doni les

cure! te:parternent

Ur.

de la pne.' terne

ries. grise bonn lage

et si . jours

tous les ans faute de bois. Nous avons alors réduit à un produit moyen, et supposé cons tant pour chaque année, le produit variable et intermittent de chacun de ces fourneaux; et nous avons trouve que quinze fourneaux dans le Mont - Blanc et dans l'Isère , donnoient annuellement une somme de fonte de cinq millions environ. ( Voyez la description de ces fourneaux dans le deuxième taMenu ).

3°. Procédés usités à Rives pour fabriquer l'acier.

L'acier ( selon les expériences de Monge Proddéspetir répétées par d'autres chimistes célèbres ) est la fabrication composé de fer et de charbon purs fondusdeacier ensemble et intimément combinés. La manière de convertir la fonte en acier doit donc consister, 1°. à réduire les parties de mine que la fonte contient, 2. à éviter de brûler

l'.

le charbon qui est interposé entre ses molécules ; 3°. enfin à faciliter la combinaison, de ce charbon avec le fer. On reconnoîtra faci-

lement que la méthode de Rives que noue allons décrire, est fondée gfur ces principes,