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minerai en grains fort riche et pense au contraire que le lavage des terreins à.précéde l'exploitation des filons; il n'cst pas inutile d'ob-

jars dit la meme chose. Les echantillone

eryer que de semblables dépôts se trouvent en Saxe et en Bohème, où les travaux (pie l'on fait pour enretirer le minerai d'étain,,senornmese(f: feu werehe , et l'étain en grains, erin ,youpen. 3°. Enfin , l'étain se,trouve en filons ; et les mines de cette espèce sOnt meme les seules que Pryce regarde a njoitrd'hui comme important es.

-employer du quart-2;

Le minerai qu'on en retire , se nomme l'A ou mine:tin , c'est - à - dire , etakm

.deux xrCtaux sont très-rapprochées dans tout ce district Mais ceux de cuivre sont les plus communs près de Iledruth , et ceux d'étain

de mine. JI y en a de si riche on le porte -à la fonderie sans aucune pr(paratien qh'il rend jusqu'à (2inquante-cinq pour cent d'étain. On trOitira en 175"o i Polberon, commune de Sairite-Ariès , un Mec -de minet ai

de cette nature pesant douze cent livies. C'est dans le granit qu'on le rencontre ordinairement à quarante brasses au -plus de 'lirofCindeur- et souvent moins. If-éât Ceinmu' nément en grains ou- cristaux ifès noirs.

• Les pyrites stnit si intiméme,nt unies à l'étain.

,daus la phipart de ses mines, sur- tout dans celles

en rognons our cellulaire, qu'on ne peut les en séparer que par l'action du leu. ( p. 42), Pryce affirme n'avoir jamais yu d'étain natif,

et'on donne ,pour en litre, lui semblent provenir de parois de fimrneaux , oit l'on aura pu ,

dont.

.coulaut aura rempli les interstices. A Pednandrea , près de Redruth dit Jars , on a travaillé, deux filons parallèles

,

l'un de cuivre,

l'autre d'étain, si rapprochés qu'ils n'en formoient qu'un , dont le cuivré occupoit le toit , et l'étain le mur ; les filons de ces

vers Sainte - Agnès. L'eau qui traverse les gîtes de minérai d'étain est en général pure douce et sans saveur ( p. 12 ) sur-tout si leterrein on le filon sont de granit on d'elvan;

et si le minerai d'étain est -riche et homogène. Les filons où l'étain se trouve en rognons, < Pryan-tin-lodes ), contiennent une eau alca-

lescente qui seroit probablement utile en médecine , lorsque la nature indique qu'il faut combattre les acides des premières y-Oies. On connolt en Cornouaille douze espèces de filons , qu'on désigne d'après la substance qui

compose la majeure partie de leur gangue. La première espèce et la plus commune est celle que l'on nomme gossan, c'est-à-dire, ochre,