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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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( iS ) aussi vertical. (I) Ce boulon reçoit à sa partie supérieure une des extrémités d'un tirant horisontal , ou bielle , qui répond par l'autre à un 'balancier én croix, ou varlet, auquel est attaché le tirant vertical, qui communique le mouvement aux tiges des pistons des pompes.

La machine étant ainsi disposée , si l'on fait marcher les chevaux, les bras de leviers

circulairement autour du ou flèches, sont mus pivot A' qui cst le centre immobile du mouve nient. Le boulon Aa se meut aussi lui-même autour de ce centre commun. On peut donc considérer la partie de la fièche qui est comprise erure le boulon et le pivot, comme le bras de levier d'une manivelle dont l'extrémité portant le boulon , mue eireulairen;tent par la marche des chevaux , parcourt suCcessivement torts les points d'une circonférence qui a pour diamètre ledouble de la distance comprise entre le boulon et le pivot ; de sorte quo, dans chaque révolution, le boulon entrainant le tire en arrière' avec lui. le tirant horisontal , et le ramène en avant , d'une quantité égale fc.eilitent le inc7cn Des trous piatiqués dans lu flèche suivant le besoin d'éloigner plus ou moins le bculen du pivot ,

d'une plus ou meins grande ley,:c de pompes.

( 19 ) au diamètre dont nous venons de parler, ce qui donne lieu à un mouvement progressif de va, et vient. Ce mouveet rétrogade , ment sel-t, au, moyen. du balancier en croix qui est adapté à ce tirant horisontïd , à éle.

ver et abaisser la tige du piston de lu?, pompe. Pour faciliter ou égaliser le mouvement , lies-

qu'on n;a, qu'un seul tirant depompe à faire agir, on adapte à la branche de la .croix opposée à ,celle où est suspendu ce tirant une caisse remplie de maéres suffisamment pesantes peur faire le contrepoids nécessaire ; mais on peut supprimer cette. caisse, Comme l'a fait le citoyen Blavon, en y substituant un -second attirail de pompes disposé de manière que les pistons de celles- ci descendent lorsque ceux des premières remontent..

EsphcEs. L A ChAtelaudren , lorsque Gillet vit cette machine, il y a.voit quatre flèches , chacune de seize pieds de longueur, quatre chevaux, une seule crois ou balancier, trois répé-

titions de pompes, chacune de trente piec's. dé longueur er'de dix pouces de diamètre. Le boulon étoit à trente pouces du pivot-; le tirant borisontal avoit trente-un pieds de long. B2