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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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EN 1Èàl.

CHEMINS DE l'ER D'ANGLETERRE

position, &Mite un Sel insoluble qui reste fixé dei§ là inasSe lignettse ; on a reconnu plus tard que ce n'était pas un sel insoliible qu'il fallait cherther à obtenir, mais titi sel aritiSeptiqUe , contraire au développement des

Vers et de la pourriture sèche, de telle sorte

en fin

de compte la doublé décomposition reste plutôt l'enseigne que le principe du procédé, et que son utilité se réduit à celle d'un moyen mécanicpie énergique pour faire pénétrer les dissolutions ritétalliees dans les bois

durs. Divers autres proCédés ont été également employés en Angleterre, inalS celui qui paraît actuellement adopté d'une Manière à peu près Complète est l'emploi de là êtébSbtè ; on donne te heti à un mélange d'huiles essentielles fluides, obtenues par distillation du goudron de houille et qui paAsetit pour renfermer urié certaine quantité de Créosote éttiliterinnent faVorable à la conservation dit bÔIS.

Quel que soit le procédé employé, le bois de chêne ne se prépare qu'iniparfaitement , l'aubier seul est pénétré et préservé ; c'eSt déjà tin résultat important puisqu'il permet d'utiliser une plus grande partie de la

Matière ligneuse et Conserve l'eveloppe extérieure dent l'altération contribue petit-être à accélérer jusqU'à un certain point celle du coeur. Les bois résineux et tendres se pénètrent jusqu'à., une Certaine profondettr Variable stiiVant la nature des procédés ; le système Boucherie, qui pénètre entièrement certaines essences pas-encore durci, ne paraît pas enlorsque le coeur tore aVoir re.0 d'applications en Angleterre. La créosote bu le mélange d'huiles qu'on appelle dé ce nom pénètre plus ou moins complètement, ordinairement de om,o3, le bois de sapin employé en morceaux équarris. Deux procédés principaux sont employés polir 4On application ; datis l'ut de Ce'§ proéédéS on fait aVan-

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Céf litdgfèSSliréMélti dans tin four ti'ès- long, sitr de petit § chariots, lés traVerSes que l'on Veut préparer, et après les avoir anieriés très-graduellement , éti les faisant passer dans des parties de plus en plus chaudes dù four, à tin point asSei voisii de là Mi-réfaction, on lés immerge bilisquetnent dans un bain de creôsote ; l'autre

procédé présente, pôtir la disposition de l'appareil Opielque analogie avec celui de Payne ; on se sert d'une chaudière dylitidrieple én tôle de im,50 à 1ia,80 de diaMètre et de i mètreS de long, dans laquelle sont pla-

Ces des rails, qui se raccordent avec titi petit chemin de fer extérieur, et qui portent une série de petits chariots sur lesquels sont chargés lés traverses ; là charge entière est introduite dans le cylindre au moyen d'une Chaîné, sortant pat Mi titi" d'homilie pélCé extrémit6 du cylindre et s'enrOhlant sur Mi treuil ; aprèS avoir retins en place la plaque de fonte qui terme Peinbouature du cylindre on fait le vide missi complètement que possible et en mêMe temps on chauffe, au moyen de la vapeur d'échappement de la Machine, la créosote déposée dans Mie haché à côté du cylindre ; lorsque lé

vide est complet, eti ouvre le robinet d'un tuyau qui plonge dans le bain dé créosote et celle-ci est rd-Mitée par la pression atinosphérique dans le cylindre ; on achève de rernplir celui-ci au moyen d'une pompe, et on établit à l'intérieur une pression de 2 atmosphères effectives, en y lan(ant la vapeur de la chaudière, qui a pour effet en même temps d'entretenir la température du bain ; on maintient la pression pendant quatre ou cinq heures. Ce procédé est assez imparfait, quant à la disposition dé l'appareil; il y aurait certainement aVantage à disposer deux cylindres dalle lesquels mi opérerait alternativetnent, en faisant passer le liquide de fini dans l'antre, èfi êtrabligeant 1 PféSSienî à..it hieryén dé' là pàfiipe